Une élève passionnée
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
vengeance,
fsodo,
initfh,
Auteur: François Delima, Source: Revebebe
... gémissements redoublèrent.
Estimant que l’anus était maintenant suffisamment détendu, il y introduisit un deuxième doigt tout en poursuivant sa caresse sur le clitoris et dans le vagin de la belle. Rapidement, cette dernière commença à émettre des petits cris de plaisir qui montraient combien elle appréciait ce qui lui arrivait. N’en pouvant plus de désir, François cessa ses caresses et entreprit de se lubrifier abondamment le sexe. Ensuite, il présenta son gland à l’entrée de cet orifice qu’il désirait tant posséder et poussa lentement. En dépit de la vigueur de son érection, son sexe ploya devant la résistance offerte par Nadège. François prit son sexe dans sa main pour forcer davantage et parvint à entrer le gland. Un petit cri de douleur l’interrompit. Il demanda à Nadège de se caresser pour lui faciliter le travail, ce qu’elle fit sans se faire prier.
Rapidement, l’effet des caresses qu’elle se prodiguait à elle-même se fit sentir et la pénétration fut plus aisée. Une fois au fond, ses testicules touchant le sexe de Nadège, François s’immobilisa quelques instants pour lui laisser le temps de s’habituer à cette présence, nouvelle pour elle.
— Tu es au fond de moi, je n’en reviens pas… Cela ne me fait presque pas mal, et c’est très excitant ! J’ai ...
... envie que tu m’encules, mais commence doucement, j’ai encore un peu peur.
François ne se le fit pas dire deux fois et commença un très lent mouvement de va-et-vient dans les reins de Nadège. Il entrait et sortait tout doucement et à chaque fois elle soupirait de plaisir sans même se caresser. Encouragé, François accéléra peu à peu le mouvement. De plus en plus excité, il la pénétra de plus en plus fort, prenant appui sur ses hanches. Il se pencha sur elle et prit un de ses seins dans sa main. Il le malaxa sans douceur et Nadège cria de plaisir. Se remémorant sans doute les paroles de sa rivale de l’après-midi, elle cria elle aussi :
— J’aime quand tu m’encules ! Vas-y, baise-moi le cul ! Défonce-moi la rondelle ! C’est trop bon !
— Oui, je t’encule à fond, c’est trop bon !
Les spasmes de la jouissance de Nadège provoquèrent celle de François qui se vida longuement au fond de ses reins, la tenant serrée contre lui par les hanches. Les premiers mots qu’elle prononça, alors qu’il sortait d’elle, furent :
— Que j’ai été conne de refuser cela pendant si longtemps ! Si j’avais su !
— Ravi de t’avoir appris quelque chose d’utile !
— Merci ! je te promets que je ne dirai rien à Christine, rassure-toi. Je sais bien que tu n’as fait cela que par devoir éducatif…