1. Une élève passionnée


    Datte: 14/09/2018, Catégories: fh, extracon, copains, vengeance, fsodo, initfh, Auteur: François Delima, Source: Revebebe

    La sonnerie du portable surprit François au moment où il allait se coucher. Il fut encore plus surpris quand il vit sur l’écran que c’était sa collègue Nadège qui l’appelait… à 10 h du soir !
    
    — Bonsoir Nadège, dit-il en décrochant, que se passe-t-il ?
    — Désolée de t’appeler si tard, mais j’ai vraiment besoin de te voir maintenant.
    — Maintenant ? Mais il est vingt-deux heures !
    — Je sais, mais je t’assure que c’est très important pour moi. Tu veux bien que je vienne ?
    — Bon, si c’est vraiment important… dit-il à contrecœur, tant il ne voyait pas ce que cette amie, avec laquelle il n’était pas vraiment intimement lié, pouvait bien avoir besoin de lui dire de vive voix à une heure si tardive.
    
    À peine François avait-il remis son pantalon et sa chemise que la sonnerie de l’appartement retentit déjà. La garce devait être en bas de l’immeuble quand elle a appelé, se dit-il. Un peu agacé par cette intrusion, il ouvrit la porte et se trouva en face d’une femme au visage ravagé par les larmes.
    
    — Mais que t’arrive-t-il ? lui demanda-t-il.
    — Benoît me trompe ! lui cria-t-elle, en sanglots.
    — Quoi ?
    
    Elle lui raconta, la voix entrecoupée par des hoquets, qu’elle était rentrée du bureau plus tôt que d’habitude parce qu’elle devait partir demain en déplacement professionnel pour plusieurs jours. En entrant dans le petit appartement de deux pièces où elle vivait avec son fiancé, Benoît, elle avait tout de suite entendu des gémissements de femme. Surprise, elle s’était ...
    ... dirigée vers la chambre, dont la porte était grande ouverte, et avait alors vu Benoît, nu, à genoux sur le lit, en train de prendre en levrette une femme qu’elle ne connaissait pas.
    
    — Tu te rends compte que ce salaud était en train de sodomiser cette garce sur mon lit ?
    — Sodomiser ? Comment peux-tu le savoir ? Tu es allée regarder de si près ?
    — Non, bien sûr, j’ai au contraire aussitôt fait demi-tour et je suis partie de l’appartement sans même qu’ils se rendent compte que j’étais venue.
    — Alors ? comment peux-tu savoir ?
    — Mais parce que la pouffiasse n’arrêtait pas de crier combien elle aimait qu’il l’encule !
    
    Elle lui raconta qu’après s’être pris un tel coup, elle était effondrée, qu’elle avait erré sans but dans les rues pendant des heures. Sans le réaliser, elle avait traversé la moitié de la ville et s’était retrouvée dans sa rue à lui, François. C’est pourquoi elle l’avait appelé.
    
    — Tu comprends, j’étais vraiment fatiguée, je n’en pouvais plus de marcher… et j’avais besoin de parler à quelqu’un.
    — Tu as bien fait de venir, lui répondit-il, sans vraiment être sûr de le penser.
    — Tu te rends compte ? non seulement il me trompe, mais en plus c’est pour faire des cochonneries pareilles ! C’est vraiment un pervers…
    — Un pervers ? Parce qu’il sodomise une femme ? Je comprends que tu sois blessée parce qu’il te trompe, mais cela ne fait pas de lui un pervers pour autant.
    — Mais, enfin, François, tu ne vas quand même pas me dire que la sodomie n’est pas dégoûtante ...
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