Sébastien, fils à maman (11) - Histoires de Sexe

Sébastien, fils à maman (11)

... la situation. Pourquoi un tel manque de respect et d’honnêteté à mon égard ?

— Parce qu’on avait peur que ça brise notre famille.

— Eh bien, c’est plutôt réussi. Maintenant que je suis au courant de ce qu’il se passe, je suppose que dans ton jeu d’échecs, je suis le roi, celui qui ne doit pas être mis échec et mat.

— Oui, c’est cela.

— D’accord, mais tu te doutes bien que je n’ai pas apprécié d’avoir été fait cocu. Cependant, je respecte les sentiments qui ont animé ta mère lorsqu’elle est devenue ta reine. Par conséquent, je veux bien continuer à laisser passer vos relations, mais à certaines conditions.

— Lesquelles, papa ?

— Tout d’abord, je constate qu’il te manque un cavalier et deux fous pour compléter ton arrière-garde. Tu ne peux pas faire les deux cavaliers en même temps. Donc, la première condition est qu’en tant que roi, je choisisse moi-même les deux fous et le second cavalier.

— D’accord, papa.

— La deuxième... Je veux voir par moi-même ce qui a pu attirer ta mère et tes sœurs chez toi. Déshabille-toi.

— Mais papa...

— Ne discute pas.

Mal à l’aise, Sébastien s’exécuta et baissa les yeux, n’osant croiser le regard de Johann. En voyant son sexe ramolli, ce dernier lui ordonna de se masturber jusqu’à avoir la verge aussi dure que possible. Une nouvelle fois, le jeune homme s’exécuta. Souhaitant en terminer le plus tôt possible, il se concentra et pensa à la première relation qu’il avait eue avec sa mère. Ce souvenir eut rapidement ...

... pour effet de faire se dresser fièrement sa verge aux yeux de son père.

— Hum... Je vois que tu es tout à fait en mesure de satisfaire les femmes les plus avides et les plus exigeantes. Tu es bien mon fils, à ce niveau-là. Maintenant, appuie tes mains contre le mur, à côté de la porte.

Sébastien prit la posture exigée avec un mauvais pressentiment. Un bruit de braguette et une chute de pantalon se firent entendre dans la pièce. À cet instant, le jeune homme comprit ce que souhaitait réellement son père en lui demandant de se mettre à nu devant lui.

— Mais papa... Tu ne vas quand même pas...

— Oh, mais si ! Je ne t’ai pas encore pardonné de m’avoir fait cocu. Si j’ai pu le faire assez rapidement pour ta mère, pour toi, ça prendra un peu plus de temps. Il faut d’abord que je te punisse et après, je pourrai passer l’éponge.

Sébastien voulut répliquer, mais, sous l’effet de la surprise, la verge de Johann s’enfonçant impérieusement dans son fondement, lui coupa la parole. Étonné par la souplesse de l’orifice de son fils, le père de famille se retira.

— Il semblerait que je ne sois pas le premier à passer par là, n’est-ce pas ? Ta mère et tes sœurs en ont déjà profité avant moi ?

— Oui.

— Eh bien, tu satisfais vraiment toutes leurs envies, mon petit.

Sans plus de paroles, Johann s’enfonça jusqu’à la garde dans le petit trou de Sébastien. Dès qu’il fut arrivé au fond, le père de famille entama une série de puissants va-et-vient. Dans le salon, l’écho de ...