Un mal pour un bien
Datte: 25/08/2023,
Catégories:
fh,
ffh,
2couples,
fbi,
hbi,
voisins,
hépilé,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
libercoup,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... oui ! Heureusement elle a lâché l’affaire. Petite, il va sans dire. J’en ai foutu partout. Un peu dans la cuvette, par erreur, et le reste autour. On ne leur apprend pas à l’école qu’un mec non décalotté, c’est incontrôlable ? J’étais tellement honteux que j’ai failli lui demander de me foutre une couche, c’est peu dire ! Elle a été super sympa, et parfaite sur le moment : silencieuse et souriante jusqu’à sortir de la chambre. Je ne lui en veux pas d’avoir lâché un « fais chier ! », sitôt la porte fermée. À sa place, j’aurais pété une durite en direct. Ce que je lui reproche, c’est de m’avoir foutu le nez dedans. De ne même plus pouvoir pisser sans aide était déjà gênant, alors, même si j’entamais une grève de la faim, à un moment où l’autre, j’allais devoir m’asseoir sur le trône et, tel un gosse, dire : « j’ai fini » !
Je me suis imaginé le cul à l’air, et une main, pas une des miennes puisque hors service, glisser à plusieurs reprises entre mes fesses. Son « fait chier » s’était transformé en « faut chier », et me ramena à la dure réalité : ma femme allait devoir torcher son con de mari. Pas qu’elle ne m’ait jamais touché le cul des doigts, mais quand même, il y a une différence notoire entre caresser une sortie propre et nettoyer un trou merdeux, non ? Je pensais qu’après ça plus jamais elle ne me foutrait un doigt dedans. Faisait chier ce « faut chier » ! J’aime bien quand elle me fouille le cul en me léchant le gland, moi !
J’ai refusé le petit-déjeuner. ...
... Pas que je n’avais faim ou soif, mais me faire donner la becquée, non merci. J’ai glandé donc. C’est long de ne rien faire. Pas que je ne l’ai jamais fait, mais au moins j’avais mes mains : je pouvais zapper. Alors j’ai attendu. Longtemps. Quand l’infirmière, enfin je suppose qu’elle est infirmière, est venue m’informer que ma femme venait me chercher, j’étais à deux doigts de l’embrasser de joie. Heureusement elle a claqué la porte avant que je ne puisse bouger. Compliqué de lever son cul sans bras. Comme pour tout, c’est dans le manque que se mesure l’aisance.
Debout, j’ai glandé, encore. Mon estomac hurlait, des fourmis picoraient mes membres, j’avais le nez qui coulait, j’essuyais ma morve dans les draps… je n’étais plus à ça près avoir repeint les chiottes à la lance à uriner. Quand la porte s’est enfin ouverte sur elle, j’étais à un doigt d’éjaculer, tel un ado d’une première pollution nocturne. Jamais je n’avais été aussi heureux de la voir. Pardon, ma chérie, mais, sur le coup, cette vision a surpassé notre rencontre. Comme quoi tout est histoire de liberté, de manque, d’envie. Je souriais comme un gosse devant le bocal de bonbons, mais j’ai vite perdu mon sourire, et ma gaule. Au moins elle n’était pas plâtrée elle ! … C’est possible ça ?
— Salut. Ça va ?
Qu’est-ce qu’il en avait à foutre ce couillon de voisin de savoir comment j’allais ? OK, il m’avait peut-être sauvé la vie, mais qu’est-ce qu’il venait foutre là ?
— Ouais. Comme un Playmobil en ...