1. Folies de Louise


    Datte: 14/09/2018, Catégories: fh, extracon, fépilée, hsoumis, hdomine, BDSM / Fétichisme Auteur: Louise, Source: Revebebe

    ... mais n’est-ce pas la rengaine des femmes qui cherchent une aventure ?
    — Est-ce votre cas ?
    — L’amie existe : ça n’interdit pas de se distraire de son absence.
    — Dois-je me montrer distrayant ?
    — Savez-vous l’être ?
    — Vous avez constaté tout à l’heure que je suis capable d’être de très mauvaise humeur. Mais quand je vous ai vue, ça s’est envolé.
    — Taratata…
    — Si si.
    — J’aimerais être capable de dissiper les soucis juste en faisant tourner mes jupes, mais je ne crois pas que ça suffise.
    — Un petit ami bougon ?
    — Mari, mais ça revient au même. J’ai perdu toute illusion à ce propos.
    — Indifférent ?
    — Non. Enfin si, un peu. Ça m’étouffe, c’est tout.
    — Que faites-vous alors ?
    — Je drague ouvertement des types dans les bars. Je les baise et puis je les tue pour éviter qu’ils ne parlent et ruinent mon mariage.
    — Je suis candidat.
    — Ah bon ! Je n’aurais pas deviné !
    — Moqueuse ?!
    — Lassée de ces dialogues préfabriqués : varions les préliminaires… Je ne vous connais pas. Mais libre à vous de me suivre quand je passerai la porte. Je ne suis peut-être pas si farouche.
    
    Sur ce, je vide mon verre, me lève et franchis le seuil sans un regard. J’arrive au bout de la rue, près d’un magasin de pianos, persuadée qu’il est resté muet à sa table, trop mou pour tenter une chance que j’ai peut-être un peu gâchée. Mais dans la vitre, devant moi, je vois briller la porte du bar quand elle s’ouvre, l’homme sortir et marcher dans ma direction. Je reste immobile devant la vitrine ...
    ... faiblement éclairée.
    
    C’est un souffle chaud qui me cueille quand il arrive à ma hauteur et parle à mon oreille.
    
    — C’est très dangereux de me parler comme ça, petite salope ! Tu crois que je peux rester calme dans ces conditions ? J’ai vu ta tenue, tu es sortie pour allumer des mecs, ou tu as une idée plus précise de la suite des opérations ?
    — …
    — Jeudi soir entre Noël et Nouvel An, onze heures du soir… Cette rue est tellement déserte que je pourrais te baiser là, contre la vitre, sans que personne ne nous dérange.
    
    Plutôt que de répondre, haletante, tremblante, je me plie en deux, saisis ma petite culotte que je descends le long de mes jambes, doucement, en faisant crisser le nylon. Quand je me retourne, je glisse avec un sourire le morceau de tissu dans la poche de sa chemise. Ce visage me dit quelque chose… Je n’ai pas le temps d’y songer plus longtemps, il me fait pivoter sur mes pieds et me ploie en avant, déboutonne son pantalon, baisse un peu son slip et sort son sexe. Le souffle de ma jupe se relevant sur mes fesses aurait suffi à me faire jouir. Ses doigts me fouillent un instant. Je me mords la main. Je sens sa bite dure investir mon vagin. Ouverte, les jambes légèrement écartées, le visage tourné sur la gauche contre la vitre froide.
    
    Il grogne, se colle à mon dos et, tout en me tamponnant la chatte avec régularité, il plaque sa bouche contre mon oreille :
    
    — Tu aimes ?
    — Oui. Continuez !
    — Je n’avais jamais sauté une pétasse aussi facilement, et dans ...