1. La pucelle lubrique


    Datte: 24/08/2023, Catégories: f, fh, ff, ffh, hplusag, inconnu, fsoumise, hdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, Humour hff, Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe

    ... s’allume à la vue du triangle de sa toison. Elle n’a pas le temps de serrer les cuisses que deux doigts de Marie l’ont déjà investie et entreprennent un savant mouvement de va-et-vient. Lui a plongé un doigt dans son œillet qui se contracte avec frénésie. Louise ronronne, frémit, se tortille.Tu ne perds rien pour attendre, se dit-il…
    
    Mais il décide de couper court. Il contourne Louise et empoigne Marie, l’obligeant à se relever :
    
    — À ton tour d’être à poil. Louise, aide-moi.
    
    Louise ne se fait pas prier. Marie se retrouve nue en un tour de main. Elle est splendide et si désirable, la petite vierge. De la confiture pour un cochon comme lui. Il la serre contre lui et investit sa bouche, langue contre langue. Il prend le temps de savourer le baiser puis repousse Marie en douceur et fixe ses mains sur ses épaules.
    
    — Marie, tu ne bouges pas, reste bien droite, n’enlève pas tes mains. Ton épreuve commence. Louise, tu lui caresses le dos et les fesses ou les seins, par-devant.
    — Hééé… proteste mollement Marie, ce n’était pas prévu, ça ! Ce n’est pas à Louise de me faire craquer, c’est à toi. Louise, tu es une garce, t’as pas le droit… ne me touche pas… oooohhh… non… Louise, arrêêête, tu triches…
    
    Théo lui caresse le visage, les épaules, les seins, la taille et les hanches, longuement, langoureusement. Aucune parcelle de sa peau n’est épargnée. Elle est réceptive de partout. Il sent les efforts de Marie pour se dominer, mais cette détermination est rapidement mise à ...
    ... rude épreuve lorsque les mains malaxent son mont de Vénus puis descendent vers sa vulve pour en pincer les lèvres sur sa perle. Le souffle de Marie s’accélère, elle commence à gémir. Il la sent se raidir. Avec deux doigts de la main gauche, il écarte les lèvres humides, avec un doigt de l’autre main, il hameçonne le bouton gonflé, le cajole, alterne caresses circulaires et titillements rapides. Marie n’en peut plus, elle se met à trépigner d’excitation.
    
    — Tu sens comme c’est bon, ça ? Et tu penses à une belle queue bien dure ?
    — Tais-toi, salaud… non… j’en veux pas de ta queue… oh ouiii…comme ça c’est booon… nooon… va plus vite…
    
    Il accélère encore le mouvement de son doigt et lui susurre :
    
    — T’as baisé avec Louise, n’est-ce pas ?
    — Nooon…
    
    Il suspend le mouvement de son doigt.
    
    — Ouiiii… ouiii… j’ai baisé avec Louise, se rattrape-t-elle avec précipitation.
    — Elle t’a branlée aussi bien que moi ? dis-le, vicieuse !
    — C’était … c’était pas la même chose … oh oui… oh ouiii… comme ça… encore…
    
    Marie est hors d’elle et ne se contrôle plus :
    
    — C’est toi… c’est toi… qui me branles… le mieux. J’en peux plus… c’est bon, ton doigt… c’est… je viens, je…
    
    Et c’est l’explosion. L’orgasme la chavire, la propulse hors du temps. Elle s’accroche à Théo comme une sangsue, il est surpris par la force qu’elle déploie. Il la laisse redescendre sur terre en la cajolant puis, comme elle paraît plus détendue, la couche sur le lit, les fesses sur le rebord du matelas.
    
    — ...
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