1. Bienvenue, pingouin ! (2)


    Datte: 22/08/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Mr.523, Source: Xstory

    ... chansonnette, de la plus sobre « Ah... euh » à la plus avenante « Ah oui, c’est bien ! Encore... » Des aigus, des râles, des cliquetis, des claquements, des meuglements. Chaque mur a sa partition, ses sonorités. Ça m’donne envie de danser, cette sauce ! Alors j’entre dans ma case, je jette mes babioles et décide d’appeler une vieille connaissance, Amélie.
    
    Quand je pose mon téléphone, le temps commence à filer sous mes doigts, il m’échappe. Je divague. Mon corps défie la pesanteur sur le canapé de la chambre, que je n’ai même pas eu le temps d’examiner. Mais je vois le plafond qui se craquelle et cède sous la pression des lits tambourinés. Ça doit être un genre de jour dernier, de jugement dernier... C’est mon heure, va falloir que j’en profite
    
    Arrrgh, cessez ! Cessez de taper sur cette porte ! Ça me résonne dans la caboche. J’me raidis : c’est elle !
    
    La frivole, elle est ravie de me voir ; moi aussi, extrêmement, même si ça ne se voit pas...
    
    Je lui fais remarquer qu’elle a changé. Hormis sa petite taille et ses longs cheveux blonds bouclés, elle a maintenant plein de tatouages, et ses seins sont visiblement siliconés. Amélie m’informe que c’est le genre idéal masculin d’après ses infos. Étrange ; moi, je rêve plutôt de finesse, de féminité. Pas d’encre ni de plastique.
    
    Mais ce que j’aime chez elle, c’est qu’elle ne perd pas de temps à baver sur le passé : à peine je lui tends les bras qu’elle m’a déjà défroqué et m’aspire la valve ! Je ne comprends rien à ...
    ... ce qu’elle me fait, ça va trop vite... Même pas le temps pour moi de bigler sur la raideur que la donzelle a disparu. Allongée sur le bord du lit, elle s’astique le mou ; ça attaque dur la chair ! Et en solitaire. Quand ça commence à ruisseler, à saloper la moquette, elle m’invite ; elle hulule son désir de se faire empaler...
    
    Je pense que j’ai dégluti son bouton gonflé ; enfin, dans mon esprit. J’ai l’effort ingrat aujourd’hui, dosé et capricieux. En plus, le lit est surélevé à hauteur de bite. Ah, ces hôtes... de satanés vicelards !
    
    À force de supplications, je décide d’abréger ses souffrances, sinon elle va m’foirer les draps et le sol. Je l’engloutis, la latte, l’aspire... Pendant que je la cogne, mon esprit se focalise sur ses globes raides. Incroyable ce que ça fige ! Rarement vu si peu de flasque, si peu de mouvements... c’est presque inerte. D’habitude, j’aime mordre les tétons ; mais là, ça va faire fuiter les baudruches !
    
    Je sens qu’elle commence à s’énerver, se crisper. Ses dents sont serrées, ses jambes me cisaillent. Elle me déchire les cheveux, la bourre... sûrement qu’elle en veut à mon scalp ! Faut pas que j’me laisse faire. Lui serre le goulot de la pogne. Vais la buter. Elle rougit comme une canneberge, mais pourtant son bassin continue de frotter et d’onduler sur mon envie. Si elle ne me lâche pas rapidement, elle va vriller au bleu !
    
    Finalement, la gueuse se raidit sec ; son corps n’est plus qu’une contraction. Elle me dégage violemment de ...
«1...3456»