Scène de ménage
Datte: 22/08/2023,
Catégories:
fh,
couple,
miroir,
noculotte,
Oral
pénétratio,
Humour
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... regardant droit dans les yeux :
— Tu la veux, hein, maintenant ?
— Bien sûr que je la veux, idiot. Allez, viens.
— Tu ne la voulais pas pourtant tout à l’heure.
— C’était tout à l’heure. Maintenant j’ai envie. Viens.
— Tu es sûre ? Tu l’aimes vraiment ma bite ?
— Bien sûr que je l’aime. Mets-la-moi, s’il te plaît.
Une virulente poussée de ses talons faillit engager le gland dans la fente, mais il résista encore, demeurant juste à l’entrée et Corinne s’exclama :
— Baise-moi ! Baise-moi ! J’en peux plus.
— Tu veux vraiment que je te baise, c’est sûr ?
— Oui, oui, oui !
— Tu aimes avoir ma queue dans ta chatte ?
— Oui, oui, oui ! Vieeens !
Alors, Christophe lâcha les chevaux comme l’aurait fait le conducteur d’un bolide et s’enfonça jusqu’à la garde. Corinne poussa un soupir d’extase et accompagna les coups de reins de son mâle d’ardents levers de cul, entraînant un chahut du lit qui le déplaça de plusieurs centimètres. Posé sur ses bras, verrouillé par les jambes de son épouse, Christophe creusa d’un rythme d’abord moderato puis allegro et enfin staccato tandis que Corinne lui griffait ...
... la peau des épaules, des flancs et des fesses. C’est le contact des ongles sur son cul qui le fit éjaculer, incapable de résister à un tel enthousiasme sexuel de celle qui partageait sa vie.
Corinne lâcha ses reins pour poser les pieds sur le lit et lui renvoyer la balle, cambrée en arc de cercle, jouissant bruyamment, les yeux vitreux et la bouche béante. Les deux corps en fusion reprirent peu à peu une température normale, sans se détacher immédiatement, et Christophe bascula sur le côté, la queue flapie, tandis que la fente de Corinne dégoulinait d’une substance blanchâtre qui tacha aussitôt le lit défait. Elle devrait changer les draps, signe que la ménagère prenait déjà le dessus sur l’amante. Néanmoins, elle embrassa son mari et lui adressa ces mots :
— Merci, tu as été à la hauteur et tu avais intérêt à l’être, car maintenant, je suis en retard.
C’était une matinée d’un samedi somme toute ordinaire dans la vie d’un couple à la vie sexuelle active, épanouie, jouissive, sans pour autant qu’elle soit criée sur les toits. Un couple qui, l’âge aidant, s’est mis à baiser tout en faisant l’amour.