1. Scène de ménage


    Datte: 22/08/2023, Catégories: fh, couple, miroir, noculotte, Oral pénétratio, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... le bisou se transforma en pipe authentique. Corinne pompait avec ardeur, avec encore l’idée qu’elle ferait éjaculer son mari dans sa bouche (ce qu’elle appréciait) et qu’ensuite, elle pourrait vaquer normalement à son ménage, son mari étant apaisé et sans doute satisfait. Il empaumait ses seins pendant qu’elle l’astiquait, ce qui lui produisait, elle devait bien l’admettre, un authentique plaisir sexuel, de sorte qu’elle y trouverait aussi son compte, dans cet impromptu buccal.
    
    Mais voilà que Christophe se retira de sa bouche, toujours au garde-à-vous, prit la nuisette par le bas et la fit passer par-dessus la tête de Corinne qui se retrouva complètement à poil :
    
    — Allez, mets-toi à quatre pattes devant la glace, je vais t’enfiler, asséna-t-il.
    
    Corinne avait encore le choix de regimber, d’évoquer son ménage, de son absence de toilette et d’un manquement à l’engagement initial. Mais il s’était passé quelque chose dans la partie de son cerveau consacrée au sexe, sans doute en raison d’un contact prolongé entre sa bouche et le gland survitaminé de son mari. Toujours est-il qu’elle se mit, sans protester, à genoux en travers du lit, face à l’armoire à glace comme l’avait demandé Christophe, et attendit la pénétration en bonne et due forme qu’elle n’avait pas demandée mais que son antre intime, très échauffé, réclamait ardemment.
    
    Quand Christophe s’enfonça en elle, elle fit « ha ! » et la glace lui renvoya l’image de son visage éclairé par un sourire. Aux poussées ...
    ... rectilignes du mâle répondirent des circonvolutions de hanches de la femelle, tant et si bien que le couple se mit à baiser franchement et résolument. Christophe lui empoignait fermement les hanches, accompagnant leurs mouvements tantôt rectilignes, tantôt rotatoires, et ne fut pas surpris de sentir la main de Corinne lui attraper les couilles. C’était son habitude quand il la prenait en levrette.« Et voilà, elle baise maintenant », se dit-il, non sans éprouver une satisfaction toute masculine. Il lui fallait juste « assurer » maintenant, car Corinne n’était pas du genre à se contenter d’une dizaine d’allers-retours. Elle le lui exprima d’ailleurs franchement quand, après qu’il se fut détaché d’elle, elle s’allongea en se tenant les chevilles ouvertes dans un angle à 45° :
    
    — Maintenant que tu m’as mis le feu, t’as intérêt à me faire jouir.
    
    Christophe n’en demandait pas plus. Corinne était à l’opposé d’une planche à pain. Il lui fallait du mouvement, de la virulence, du vrai travail de bite. Il fallait que sa peau remue des seins à l’abdomen. Et Christophe aimait par-dessus tout observer la houle de ses larges nibards quand il cognait dur. Il aimait tout autant l’entendre crier de plaisir et de fait, dès qu’il asséna ses coups de boutoir dans le compas grand ouvert des cuisses, Corinne se mit à vocaliser. C’était fort, c’était cru, c’était inaudible aux oreilles chastes et mêmes féministes, car Corinne célébrait son travail de mâle en rut. Le mot « bite » revint plusieurs ...