Mon stagiaire me révèle à moi-même (2)
Datte: 19/08/2023,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: lel0up, Source: Xstory
... encore ?
— Ouiii ! J’en veux plus ! S’il te plaît !
— OK, dit-il, mais c’est moi qui décide quand, il lui donna un nouveau coup qui la fit gémir.
— Comment, un autre coup lui arracha un cri d’extase.
— Et sous quelles conditions, ce dernier coup la fit hurler de plaisir.
— Compris ?
— Oui ! Oui ! J’ai compris ! Continue !
— Tu promets ? demanda-t-il.
— Oui oui ! Je te promets ! Je serai sage, je te demanderai plus rien. Je serai juste à ta disposition. Mais pitié, continue maintenant !
— C’est bien, dit-il.
Après quoi, il se remit soudainement à la défoncer, invoquant un concert de gémissements et de grognements. Il rentrait et sortait sa queue à un rythme effréné, maintenant les jambes de sa partenaire bien écartées de sorte qu’elle soit complètement ouverte à lui. Son regard animal était plongé vers les gros seins de son amante qui s’agitaient à chaque coup de queue qu’il donnait. Moi-même, j’étais complètement subjugué par le spectacle, n’en ratant pas une miette. Comme ils ne regardaient pas vers le porte, je pouvais reluquer à loisir ce véritable dieu du sexe en action.
Nadège était une femme séduisante. C’était évidemment la première fois que je la voyais nue. Pourtant, je n’éprouvais aucun désir pour elle à cet instant. Je m’imaginais à sa place, j’imaginais que cette queue puissante dont elle vantait les mérites, et que j’avais pu goûter, me labourait le cul. Je voulais tellement qu’il me prenne à cet instant ! J’aurais pu faire ...
... n’importe quoi. Lorsque le plaisir sembla atteindre son paroxysme, lorsque tous deux poussèrent des cris de plus en plus forts, que moi-même j’approchais de l’orgasme, Julien releva la tête et plongea son regard vers moi. Qu’il était beau, le visage crispé par le plaisir, ses épais sourcils bruns froncés par l’effort, le front baignant de sueur, la bouche entrouverte. Si beau que je jouis immédiatement en le regardant et, à en croire les grognements sonores qu’ils poussèrent, les deux amants jouirent aussi. Nous restâmes quelques secondes figés par l’extase, à nous regarder, puis Julien me décrocha un sourire satisfait.
De mon côté, je me rappelais que j’avais la queue à l’air et qu’une de mes collaboratrices risquait de me voir si elle se retournait. Aussi, je me rhabillais prestement et retournais rapidement à mon bureau.
Là, je fis les cent pas, repensant à ce qu’il venait de se passer. À quoi jouait-il ? D’abord, il disparaissait, ensuite il revenait et me donnait un étrange rendez-vous. Tout ça pour que je le retrouve en train d’en baiser une autre ? J’avais joui, mon excitation était retombée et je pouvais penser plus clairement. Je me disais que ce type était malsain et ce qu’il se passait entre nous ne pouvait conduire qu’à un désastre. Je résolus d’y mettre un terme. Au même moment, on frappa à la porte de mon bureau.
— Pas maintenant ! hurlais-je.
La porte s’ouvrit quand même. C’était Julien. Il entra, un large sourire aux lèvres, et alla s’assoir à ma place, ...