1. Mon stagiaire me révèle à moi-même (2)


    Datte: 19/08/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: lel0up, Source: Xstory

    ... incapable de répondre quoi que ce soit.
    
    — D’ailleurs, avec tout ça, je t’ai un peu laissé en plan, je crois. Qu’est-ce que tu dirais de faire un point en fin de matinée ? J’aimerais beaucoup t’aider à terminer ce qu’on a commencé, dit-il.
    
    Parfaitement conscient du double sens de la phrase, je bredouillais un vague :
    
    — Euh, oui. Je sais pas. Mais faisons un point pour en parler, OK.
    
    — Super, dit-il avec un sourire. Laisse-moi organiser ça.
    
    — Ça marche, répondis-je. Et, incapable de faire bonne figure plus longtemps, je me dirigeais vers mon bureau. Derrière moi, j’entendis Julien murmurer quelque chose à Nadège, ce qui la refit glousser de plus belle.
    
    Après une heure interminable, je reçus finalement un message de Julien. Il proposait de se voir à 11h30, dans une salle de réunion que personne n’utilisait jamais, parce qu’elle ne possédait pas de fenêtre et était située loin de tout. Je devinais pourquoi il avait choisi un endroit si discret. J’hésitais longuement. Une part de moi voulait follement qu’on recommence voir, comme il l’avait sous-entendu, qu’on aille plus loin. Cette part en avait même besoin. Une autre pensait à Sophie, à notre mariage à venir, à l’enfant qu’on voulait avoir ensemble, à nos projets futurs. En même temps, Julien allait terminer son stage. Il allait partir bientôt, peut-être pour retrouver sa copine aux États-Unis. À ce moment-là, nos vies reprendraient leurs cours. J’épouserais Sophie et nous serions heureux. D’autant plus ...
    ... heureux que je n’aurais, alors, pas de regrets. J’aurais vécu ce que j’avais à vivre avec Julien. Ce n’était, après tout, qu’une lubie passagère, rien d’important.
    
    Aussi répondis-je simplement à son invitation par "OK"
    
    En attendant notre rendez-vous, je m’isolais complètement, refusant toute entrevue. À l’heure convenue, et après être passé aux toilettes pour me rafraichir, je me dirigeais tout tremblant vers la salle de réunion. J’avais oublié à quel point l’endroit était désert. À cet étage, il n’y avait que des archives. Des centaines d’étagères remplies de classeurs et, au fond d’un couloir, une porte donnant sur une minuscule salle de réunion. Cette porte, je le remarquais en m’engageant dans le couloir, était entrouverte. J’avançais lentement, le cœur battant à tout rompre, encore hésitant quant à mon choix. Lorsque je fus qu’à quelques mètres, j’entendis la voix de Julien. Bizarre. Parlait-il tout seul ? Puis j’entendis avec horreur la voix de Nadège qui, cette fois, ne gloussait pas. Elle gémissait.
    
    Je m’arrêtais, comme paralysé. Les gémissements redoublèrent d’intensité. Je m’apprêtais à faire demi-tour lorsqu’elle cria « Oh oui, ta queue ! Elle est si bonne ! aaaaaah ! Défonce-moi plus fort ! ». Alors la curiosité, l’envie prirent le dessus. Cette queue que j’avais eue dans ma bouche, cette même queue était en train de baiser cette femme. Je devais voir ça. Je devais la voir en action. Je m’approchais lentement, sans faire de bruit, et glissais un œil par ...
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