Mon stagiaire me révèle à moi-même (2)
Datte: 19/08/2023,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: lel0up, Source: Xstory
... voyais très bien quel dossier Julien connaissait. Sur le bout de doigts, je dirais.
— Ça marche, dis-je, avant de m’enfermer dans mon bureau.
Bordel ! pensais-je, ça ne se fait pas de se faire sucer par quelqu’un et de disparaître juste après, sans donner de nouvelles. Surtout quand ce quelqu’un est son supérieur. Après réflexion, ce qui ne se faisait pas, c’était surtout de sucer ses subalternes. En même temps, je n’avais pas du tout l’impression d’avoir usé de ma position. Bien au contraire. Julien m’avait dominé de bout en bout. Il m’avait transformé en une vraie chienne, trop heureuse de profiter de ses caresses, de se faire baiser la gueule copieusement par sa grosse queue. Machinalement, je commençais à me caresser et, bientôt, je sortis ma propre queue de mon pantalon pour m’astiquer. Chose que je n’avais jamais faite auparavant au bureau. Mais là, je ne pouvais pas résister. Je pensais à sa musculature impressionnante, à la toison brune qui recouvrait son torse, à ses gestes de mâle dominant. Je me sentais coupable et je m’étonnais de ressentir un désir pareil pour un mec. Mais j’étais trop excité pour m’en empêcher.
J’allais bientôt jouir quand on frappa à ma porte. Je me réajustais rapidement et bredouillais un « entrez ! » maladroit. Fabrice passa la tête pas l’entrebâillement de la porte.
— Excuse-moi, on pensait que t’aimerais le savoir. Julien vient de se pointer.
— Quoi ? m’exclamais-je.
— Ouais, pas trop tôt hein ? Il fait un point avec ...
... Nadège là.
— OK ... euh, laisse-moi une minute, j’arrive.
J’attendis que ma queue ait un peu débandé et je sortis de mon bureau. Je trouvais effectivement Julien en compagnie de Nadège. Il semblait lui raconter une blague, car elle n’arrêtait pas de glousser comme une idiote. Tous les deux étaient assis face à l’ordinateur de Nadège, très proches, si bien que leurs jambes se touchaient. Julien avait même posé son bras sur le dossier de la chaise de sa collègue. Pour quelqu’un qui souffrait de ses avances, il ne faisait rien pour y mettre un terme, songeais-je.
Je me raclais la gorge en arrivant à leur niveau.
— Je dérange ? demandais-je.
— Ah salut ! Dit Julien, me décrochant un sourire charmeur dont il avait le secret. Tu ne nous déranges pas du tout. J’allais venir te voir, mais Nadège avait un besoin urgent, dit-il en rigolant. Ce qui ne manqua pas de faire rougir l’intéressée jusqu’aux oreilles.
— Tu étais malade ?
— Oui, désolé, dit-il en affichant soudain un regard de chiot qu’on viendrait de gronder. J’étais cloué au lit. J’avais tellement de fièvre que j’étais même incapable d’appeler pour prévenir.
— Un email ou un SMS aurait suffi, dis-je, pas convaincu par son histoire.
Il changea une nouvelle fois de visage, affichant cette fois un air un peu goguenard.
— Je sais, mais même ça, c’était trop dur. Je ne sais pas ce que j’ai fait pour me retrouver dans un état pareil, mais ça devait être particulièrement intense.
Je restais interloqué, ...