Une histoire gay écrite par un hétéro (1) - Histoires de Sexe

Une histoire gay écrite par un hétéro (1)

... prêt.

Daniel commence alors par écarter mes fesses, pour bien étaler le lubrifiant avant de caresser ma rondelle. Il m’a dit de le laisser faire. Que je ne suis pas le premier hétéro qu’il dépucelle du cul et qu’il sait comment s’y prendre avec « nous ». Je lui fais confiance. Il commence ainsi par me rentrer un doigt, puis un deuxième, pour bien me préparer et me dilater. Jusque-là, rien d’étonnant. Je me suis déjà moi-même administré ceci, donc je ne ressens rien de nouveau. Puis, petit à petit, je sens une légère pression sur mon anus. J’imagine qu’il commence à m’enculer. Il y va doucement, tranquillement. Ce n’est pas plus mal. C’est quand même la première fois que je me prends une bite dans le cul, autant rendre ça agréable. Plus il s’enfonce, plus la sensation que je ressens est de plus en plus plaisante.

Il est entièrement en moi. J’ai une bite en moi. Je n’en reviens toujours pas. Sentir quelque chose en moi est étrange, mais stupéfiant.

— Ça va ?

— Ouais, vas-y.

Sur ce mot, il commence de légers va-et-vient. Sentir son sexe aller d’avant en arrière, tout en s’enfonçant en moi, me fait autant de bien que quand je pénètre une fille. Plus il me donne de coups de reins, plus je m’abandonne à la sodomie.

— C’est bon ? T’aimes bien ?

— Ouais, c’est bon. Tu peux y aller plus fort.

— T’es sûr ?

— Ouais, vas-y.

— OK...

Il s’agrippe alors à mes hanches pour m’enculer plus fort. Je n’arrive pas à croire que je ressens autant de plaisir à ...

... me faire prendre par-derrière. Plus il me prend, plus je sens le plaisir monter en moins. Je sens mon corps se chauffer et bouillonner de l’intérieur. C’est une sensation étrange, que je n’ai jamais ressentie. Ni en me branlant ni en couchant avec une femme. Ce n’est pas meilleur, mais c’est différent. Des picotements parcourent mon corps en long, en large et en travers. C’est comme des brises qui me transpercent de part en part. Tout ça part des pieds, monte le long de mes jambes, avant de s’attarder évidemment, sur mon cul. Plus je me fais sodomiser, plus je commence à gémir d’une voix rauque.

— Oh... oh... putain.

— Ça te plaît...

— Ouais... Vas-y encore plus fort.

— Vraiment... ?

Il est gentil à s’inquiéter pour moi. Mais plus je le sens, plus je me libère et me sens prêt à tout encaisser.

— Oui, te gêne pas.

— Mais, je vais te péter le cul, là...

— C’est ce que je veux.

— D’accord...

Il empoigne alors plus fortement mes hanches pour avoir plus de prise et y aller franchement. Il me sodomise de plus en plus vite et de plus en plus fort, à son rythme. Son bassin vient se claquer contre mes fesses. Mes gémissements deviennent de plus en plus réguliers et mon plaisir de plus en plus intense. Ces picotements et ces brises continuent de longer mon corps. Elles font une légère pause dans mon ventre avant de remonter. Plus Daniel m’encule fort, plus je sens ces sensations augmenter encore et encore. Puis, quand ils ont atteint leur paroxysme, ils ...