Une histoire gay écrite par un hétéro (1) - Histoires de Sexe

Une histoire gay écrite par un hétéro (1)

... verge dans mon orifice buccal. Pas au point de faire une gorge profonde, mais suffisamment pour que ce soit bien excitant.

— Ouais... vas-y... suce-moi bien comme ça... Oh...

Voyant que ça lui fait plus de bien que je ne croyais, je décide d’augmenter le tout en lui caressant les testicules. Visiblement, il semble prendre son pied puisqu’il a placé la tête en arrière et a fermé les yeux, comme pour mieux profiter.

Je change alors de technique et n’effectue plus de va-et-vient. Je lèche doucement le long de sa verge de bas en haut, de haut en bas et ainsi de suite, jusqu’à finir par lui bouffer les couilles.

— Ouh... tu me bouffes les couilles en plus... T’avais vraiment envie de tout tester, d’y voir...

L’entendre parler me donne encore plus envie de continuer. Pendant que ma bouche s’occupe de ses couilles, ma main, elle, s’occupe de le branler. Se préoccupant tantôt de toute sa bite, tantôt juste du gland.

— Bah, pour un hétéro qui n’a jamais sucé, t’es vachement doué. Continue...

Je reprends alors la fellation traditionnelle. Son pénis, qui avait un peu débandé, se remet à durcir en moi. Sentir le membre d’un homme gonfler à l’intérieur relève d’une sensation que je ne saurais clairement pas expliquer, mais c’est quelque chose d’unique.

Plus la fellation avance, plus je le sens sur le point de venir. Je commence à sentir son jus monter et sa bite palpiter. C’est là que je décide d’arrêter, mais pas parce que je n’ai pas envie de goûter son ...

... sperme. Parti comme je suis, j’aurais tout avalé sans soucis. C’est parce que je me rends compte que je veux plus. Je quitte alors la pièce, sous le regard intrigué et attristé de Daniel, qui se demande sans doute où je vais et pourquoi je ne le finis pas. Il a l’air complètement perdu, le pauvre. Le pouvoir de la fellation est incroyable. Finalement, quand un mec se fait sucer, c’est lui qui est en position de faiblesse. Je n’y avais jamais pensé.

Je reviens moins d’une minute après et lui jette un préservatif qui atterrit au niveau de son bassin. Placé devant lui, je lui tends un tube de lubrifiant et prononce mes premiers mots, d’une bouche libre depuis ces sept dernières minutes.

— Ça te dit de me prendre le cul ?

— Tu-t’en es sûr... ?

— Oui. J’ai envie d’aller plus loin. Maintenant que j’ai sucé une bite, je veux savoir ce que ça fait de s’en prendre une. Mais décide-toi vite, avant que l’envie retombe.

— T’inquiète pas, c’est un grand oui ! Tu m’as bien excité et j’espérais tellement que t’en aies envie.

Nous nous déshabillons tous les deux et nous nous retrouvons nus, face à face. Être nu devant un autre gars me gêne moins que je le pensais. En même temps, je viens de le sucer, alors la nudité, à mes yeux, c’est le cran inférieur. Je me place alors de façon à ce que mes genoux soient sur le canapé et mes mains agrippées aux rebords supérieurs. Autant, je n’éprouve plus de gêne à être nu face à lui, autant le regarder me prendre, je ne me sens pas encore ...