1. Le manoir du péché (17)


    Datte: 17/08/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... haut des cuisses. Depuis notre dernière relation elle avait hormis de passer chez esthéticienne.
    
    Malgré leur abondance, ils ne masquaient pas la fente. La patronne dut forcer car les bords s’écartèrent encore plus. Excité, je fixais le déploiement ce cette chair obscène pour certaines personnes et merveilleuse à mes yeux. Je fus surpris par le jet jaunâtre qui fusa de sa chatte, alors qu’elle émettait une plainte prolongée. Son sexe se crispa et une giclée de mouille jaillit de son vagin. Je compris que la cochonne prenait son pied en se soulageant.
    
    Quelques gémissements rauques et des tortillements de sa part, certifièrent mon raisonnement. Cela n’empêcha pas la patronne de se soulager à grands flots tout en prenant du plaisir. Quand elle eut fini, elle se releva. Puis elle me fit signe d’approcher. Là elle me tendit sa culotte de soie ;
    
    -Tiens prends là je sais que tu raffoles de ça.
    
    Alors que je la plaçais sous mes narines pour la humer, elle prit ma queue dans sa main, elle entama un lent et agréable va-et-vient.
    
    -J’espère que tu aimes ça ?
    
    -Elle sent bon. Répondais-je le souffle court.
    
    -Je veux bien ! je l’ai gardé 48heures sur moi !
    
    Elle avait une façon de couvrir et découvrir le gland qui me faisait naître des frissons électrique dans tout mon corps. Cela additionner à l’odeur qu’exhaler la culotte j’avais très vite joui, accompagnant mon éjaculation d’un cri aigu, engluant les doigts de ma branleuse d’une épaisse giclée de sperme. Qu’elle s’empressa d’essuyer dans sa culotte.
    
    Emprunté, et comme toujours gêné après que mon excitation fut passée, je sentis ma queue se recroqueviller à vue d’œil. Comme à son habitude, la patronne changea vite d’attitude, redevenant elle-même revêche.
    
    Sans m’attendre elle s’éloigna à grands pas à travers les broussailles.
    
    -Dépêche-toi un peu veux tu Alain, fit-elle en me voyant traîner derrière elle. Il n’y aura plus rien à acheter au marché…
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