1. Le manoir du péché (17)


    Datte: 17/08/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    SUR LA ROUTE DU MARCHE.
    
    Cet après-midi, en me rendant chez ma patronne qui m’avait fait convoquer par la cuisinière, je me demandais ce qu’elle me voulait. L’idée me vint qu’elle avait envie de baiser. Honteux je sentis ma bite se gonfler.
    
    En entrant dans sa chambre, je devinais tout de suite ce qu’elle désirait de ma part.
    
    -Bonjour Alain !
    
    Je lui rendis son salut. Malgré ses écarts, elle imposait le respect avec son apparence strict pour les autres alors que moi, je savais ce que cachait cette attitude. Il suffisait de voir ses yeux sournois et fureteurs de la patronne pour comprendre qu’elle était aussi vicieuse que n’importe quelles femmes au statue sociale inférieure.
    
    Elle m’expliqua qu’elle avait besoin que je l’emmène au marché. Je n’étais pas dupe. Elle pouvait si elle voulait y aller seule, ce qu’elle faisait si bien. Il devait y avoir autre chose derrière cette demande, l’idée de m’isoler avec elle n’était pas pour me déplaire. Et d’ailleurs je n’avais aucune raison de refuser. La patronne me suggéra de chauffer la voiture.
    
    Et comme je l’avais pressenti au bout de quelques kilomètres elle me demanda de trouver un endroit isolé. Puis elle ajouta :
    
    -J’ai oublié de faire pipi avant de partir. Si tu peux d’arrêter quelque part.
    
    -Tout de suite madame ?
    
    -Non, non, je te dirais où !
    
    Quelques kilomètres plus tard, elle m’indiqua la route prendre. Ne fois sur le lieu choisi j’arrêtais le contact et attendis la suite.
    
    -Si tu veux faire pipi, ...
    ... c’est le moment d’en profiter, fit-elle avant d’ouvrir sa portière.
    
    Je sentis ma verge gonflée. Elle avait eu une drôle de voix sucrée en disant ses quelques mots. Elle ne changera jamais.
    
    Elle m’entraîna jusqu’à un espace boisé pas visible de la route toute proche. Au milieu des arbres, une souche formait une table. Des fourrés épais l’entouraient. C’était vraiment l’endroit tranquille pour s’isoler. Je la soupçonnais d’être déjà venue ici. Mais avec qui ? pas le temps d’approfondir la question que déjà la madame s’accroupit. Elle avait décidé de pisser devant moi.
    
    Elle me fit signe de m’approcher d’elle. Elle s’attaqua tout de suite à mon pantalon, puis au slip. La vue de mon sexe au garde à vous la fit rire.
    
    -Tu ais excité à ce que je vois. C’est moi qui te produis cette effet ? Comme je ne vois personne d’autre que nous je devine que c’est vraiment moi et là mon coco, tu ne peux pas savoir comment je suis heureuse, de produire ce résultat sur un gars comme toi. Après un soupir bruyant, elle ajouta :
    
    -Il va falloir que je me dévoue.
    
    Elle se redressa un peu, assez pour faire passer sa culotte de soie sous ses fesses puis le long de ses jambes. Je sentis une vague chaude se former dans mon ventre. Puis la patronne s’était accroupie de nouveau au même endroit. La robe retroussée jusqu’à la taille et les genoux largement écartés, elle ne cachait rien de son entrejambe. Ses poils pubien tapissait son sexe jusqu’aux creux des aines, et débordaient même sur le ...
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