1. Pâques en famille


    Datte: 13/09/2018, Catégories: fh, fplusag, massage, pénétratio, exercice, policier, bourge, Auteur: Gigi 02, Source: Revebebe

    ... inaperçu, et puis d’abord, tu y connais quoi, toi, en gangsters ?
    — Oh, rien ! Je disais cela comme ça ! Eh bien, dites donc, avec vous deux, la soirée promet d’être gaie !
    — Bon, eh bien, moi, pour calmer les esprits, je sais ce que je vais faire, je vais appeler la gendarmerie. L’adjudant est un ami, il acceptera de faire un détour par ici au cours de sa ronde, si cela peut vous rassurer… en attendant, si quelqu’un veut manger un morceau ou boire quelque chose…
    
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    — Quelle heure ?
    — Bientôt minuit.
    — Et ils sont toujours là ?
    — Toujours, Clara ; du deuxième, on voit très bien leur voiture, même s’ils ont pris soin de la rendre moins visible.
    — Et pas de nouvelles des gendarmes ! Mais qu’est-ce qu’on va faire ? Et si on partait ? Là, maintenant, en douce
    — En douce ? Et pour aller où, Julie ? Non, croyez-moi, cela ne servirait à rien ; mais j’ai bien réfléchi à la situation et à mon avis, il ne se passera rien cette nuit, pas plus que les autres nuits, d’ailleurs. Ce qu’ils font, c’est plus de l’intimidation qu’autre chose… s’ils voulaient nous assassiner, ils l’auraient déjà fait. Alors voilà ce que nous allons faire, vous, toutes les trois, vous allez monter dans vos chambres, vous vous y enfermez à double tour si ça vous chante, et puis moi, je vais rester ici, dans le canapé, la main sur le téléphone. Et si quelque chose bouge, j’appelle la gendarmerie ; et puis, d’un autre côté…
    — D’un autre côté ?
    — Eh bien, Julie, cela m’évitera de vous ...
    ... entendre vous lamenter toute la nuit !
    — Bravo, Bart, voilà ce qui s’appelle parler en homme ! Ah si mon pauvre mari était encore là ! À propos, je ne sais pas si je fais bien de te le dire, mais il y a son revolver d’ordonnance dans le deuxième tiroir du bureau, on ne sait jamais. Alors, bonne veillée, mon grand, et honnêtement, moi aussi, je pense comme toi !
    
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    — Il y a quelqu’un ?
    — Chut ! C’est moi, Bart !
    — Julie ? Mais qu’est-ce qui se passe ?
    — Rien, mais je suis bien trop tendue pour pouvoir dormir ! Et je crois que ma mère a une bouteille de scotch par ici, tu en prends avec moi ?
    — Non merci ! Sans façons. Je ne bois pas d’alcool. Vous voulez que j’allume ?
    — Non, non, surtout pas ! Restons dans la pénombre ! Dis, tu crois qu’ils vont attaquer bientôt ?
    — Attaquer bientôt ? Mais enfin, Julie, on n’est pas à Fort Alamo ! il faut arrêter la parano, un peu !
    — Oui, c’est ça, moque-toi de moi ! Il n’empêche que si demain on nous trouve morts, tu auras bonne mine… tiens ! Écoute… on dirait quelqu’un qui parle.
    — Mais non, c’est le vent.
    — Je voudrais bien en être aussi sûre que toi ! Et puis, bon sang ! Qu’est-ce qu’il fait chaud dans cette pièce ! Tu n’as pas chaud, toi ?
    — Si, si.
    — Eh bien moi, je vais me mettre à l’aise, alors je me débarrasse de ma robe de chambre.
    — Hein ? Mais vous n’êtes pas sérieuse, Julie ! Si quelqu’un descend et qu’il vous trouve dans cette tenue…
    — Eh bien, figure-toi que ce soir, c’est le cadet de mes soucis ! Parce ...
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