La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1528)
Datte: 14/08/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Pardonnez-moi Monsieur le Marquis, j’ai ces anneaux depuis avant-hier seulement et mes chairs sont encore très sensibles.
- Je comprends, ta bouche l’est-elle ?
- Non Monsieur le Marquis.
- Alors à quatre pattes, vite, et suce-moi, la pute.
J’avais compris dès la rencontre avec cette Anita en entrant que j’étais dans un cabinet médical un peu particulier où la Domination avait toute sa place. J’appréhendais et m’inquiétais pour la suite. Est-ce que le Maître allait me faire poser des piercings sur ma nouille ? Je redoutais terriblement cet instant !... La jeune Anita œuvrait, semblait se délecter de ce membre dru et puissant qu’elle avait en bouche et qu’elle avalait ou qu’elle titillait du bout de sa langue. J’éprouvais subitement et honteusement un sentiment de jalousie, combien j’aurais aimé être à la place de cette jeune et belle Anita. Elle ne bronchait, même pas lorsque le Noble lui ouvrir sa blouse blanche sur le devant et laissait apparaitre une poitrine généreuse où elle avait déjà les tétons annelés… Elle ne bronchait pas non plus quand la porte de la salle d’attente s’ouvrait de nouveau au bout d’une quinzaine de minutes, elle restait concentrée ...
... sur ses activités sans craindre d’être vue. Le médecin la regardait, s’accroupissait derrière elle, lui écartait les fesses puis m’interpellait.
- Viens ici, chien soumis, viens donner quelques coups de langue sur ce petit trou pour que je puisse la doigter sans trop de difficulté.
Je ne bougeais pas, pas parce que terrorisé, mais parce que je n’obéissais qu’au Maitre.
- Va, salope, va glisser ta langue dans le cul de cette chienne !, rajoutait le Châtelain
A quatre pattes derrière Anita, avec un dégoût certain, je passais ma langue sur ce trou, le médecin me tenait la nuque pour que je m’enfonce en elle, chose qu’il m’était bien difficile à faire, non pas parce que ce trou était trop serré, bien au contraire, mais parce qu’Anita était une femme. Dieu merci, le Maître râlait, jouissait, envoyant plusieurs jets de sperme au fond de la gorge de cette soumise au moment où je léchais tout de même avidement, par obéissance. Anita se délectait de la noble Semence, nettoyait le Joyaux du Maître et remerciait Monsieur le Marquis en se prosternant humblement devant Lui. Puis nous entrâmes dans le cabinet du docteur. On exigea de suite de me dévêtir…
(A suivre…)