1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1528)


    Datte: 14/08/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1527) -
    
    Chapitre 7 : La consultation -
    
    Le gendre idéal n’était plus, seul le soumis dépravé et souillé existait ! …Le Maître et kévinsoumis étaient repartis, me laissant là, baignant dans ces urines maintenant refroidies et puantes. Je restais allongé encore de longues minutes, comme ça, totalement éreinté, anus béant, sans bouger, j’avais juste étiré mes jambes. Je me sentais bien, un bien-être authentique et indiscutable presqu’une forme de béatitude de me sentir tout simplement à ma place... Je laissais mon esprit s’envoler, ne pensais plus, ne méditais plus, ne réfléchissais plus. Je me contentais de rêvasser à tout et rien à la fois, sans chercher à analyser ce qu’étaient mes pensées. Un total lâcher-prise, une attitude intérieure d’ouverture à la vie et aux autres. C’était bien la première fois que je parvenais à un tel abandon ! Je ne me jugeais pas, ne me dépréciais pas, j’étais… moi ! Un incontestable… moi, un être vivant, certes assujetti et asservi, mais n’éprouvant ni honte, ni scrupule, ni remords, ni quoi que ce soit.
    
    Il y a peu, je me serais inquiété de savoir comment allais-je faire pour rentrer à la Bastide. Là, je décidais de rester nu, de marcher à poil, avec seules mes chaussures aux pieds, au milieu des rangs de vignes, parce qu’il était impossible de remettre un quelconque vêtement sur mon corps couvert de pisse, de poussière, avec ...
    ... un cul souillé de sperme, laissant échapper un trop plein de foutre. Je me sentais léger comme l’air en cette fin d’après-midi. Je pus rentrer tout de même tout nu et sans que personne me voit, par la vieille porte ‘de secours’ du cellier située derrière la maison
    
    Au cours de la soirée, évidemment je repensais à ce jeune kévinsoumis. Quelle maîtrise de son corps, de son mental, quelle endurance, un mois sans éjaculer ! Moi qui avais besoin de me masturber quotidiennement… Saurais-je l’égaler un jour ? Combien de temps me faudrait-il pour être si bien éduqué, formé, formaté, dressé ? Arriverais-je un jour à neutraliser mes craintes, mes peurs, à rejeter ces valeurs morales qui m’empêchaient d’être moi tout simplement, de vivre sans préjugé, sans opinion préconçues ? Parviendrai-je à aller au-delà de mes propres limites, apprendre l’indécence et l’obscénité, avec une banalisation de ma sexualité ? Accepterais-je aisément de me retrouver à poil, de montrer mon sexe sans la moindre honte, de tendre mon cul avec indécence, me faire baiser en toute impudeur, de me faire palper avec fierté, sans ressentir une quelconque gêne et de trouver ça normal, anodin, logique et coutumier ? J’étais encore dans cette introspection positive, lorsque mon téléphone bipait m’annonçant un sms.
    
    - Tu dois te libérer demain pour dix-heures. Tu viendras au Château correctement vêtu, mais sans sous-vêtement. A demain, salope.
    
    - A vos Exigences, Maître, répondais-je respectueusement.
    
    J’étais ...
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