histoire intemporelle (1)
Datte: 13/08/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Etrenu, Source: Xstory
... caleçon sur le côté pour éviter que mon sexe ne sorte d’un coup.
Et cela marche ! Le pantalon s’abaisse. L’homme rit en voyant le gars sauter sur une jambe pour retirer l’autre du pantalon. Je l’entends dire « tomberas-tu cette fois ? ». Le garçon rit, tire la langue, reste concentré.
A moi aussi c’est arrivé de chuter en retirant mon pantalon. Parfois de manière grotesque. Cela a déjà dû se produire. De toute évidence l’homme l’a déjà vu tomber au sol, fesses en arrière, pour finir de se déshabiller.
Je ris avec eux. Discrètement. Le spectacle m’émerveille.
Et le garçon ne tombe pas. Pas cette fois. Il réussit son numéro d’équilibriste. Il en est fier comme un paon, se pavanant devant l’homme tout sourire.
A nouveau ce déhanchement. Qui déclenche une nouvelle coulée de mon excitation. Qu’il est beau ! Qu’elles sont belles ses fesses ! Enfin, pour ce que j’en vois, cachées sous le caleçon.
La bosse que forme son sexe en déformant le tissu ne cache rien de son état. Le même que celui de l’homme. Le même que le mien. Nous sommes trois hommes en rut. C’est incontestable. Et cela me plait.
Le garçon, magnifiquement torse-nu, la toison pubienne débordant légèrement du caleçon déformé, reprend sa danse devant l’homme. Leur jeu continue. Je n’ai surtout pas envie qu’il s’arrête !
L’homme lui fait signe d’approcher. Le garçon refuse. L’homme insiste, fait les gros yeux, menace.
C’est toujours le même jeu. Depuis mon sexe la coulée séminale est ...
... quasi-continue.
Enfin le garçon approche peu à peu. Jusqu’à ce qu’un bras de l’homme jaillisse et le saisisse par le poignet. Le garçon se défend un instant. Avant de se soumettre.
L’homme passe une main derrière sa nuque, l’attire à lui, l’embrasse.
Je suis stupéfait. J’ai déjà vu des tas de garçons embrasser des filles sur les lèvres, même des filles déposer joyeusement des bisous sur les lèvres de leurs amies, mais jamais deux hommes s’embrasser. D’autant plus que le baiser est appuyé.
L’homme grogne. Le garçon gémit. Surtout quand il sent une main virile tâter son vit à travers le tissu, jouer à pincer son bout, puis à soupeser ses bourses.
Je me détends en constatant que le garçon est dans le même état que moi : une large tâche humide assombrit le tissu là où son gland le tend. Et l’homme ? Son dard luit. Comme le mien. Comme celui du garçon.
Enfin la main de l’homme trouve l’ouverture, s’insinue dans le caleçon, va palper le vit en beauté. Le garçon gémit. L’homme doit merveilleusement le caresser. Le joli fessier remue. Le baiser devient plus sonore. Et moi je suis jaloux.
Oui, je ressens une vague de jalousie : cela fait des années que je rêve qu’une main vienne s’introduire dans mon caleçon pour caresser mon sexe, le branler, le faire dégorger.
En voyant la main de l’homme je réalise que j’ai toujours rêvé d’une main large, poilue ; pas une main fine et délicate ; pas une main de femme, mais une main d’homme. Une main comme celle que je vois, là, à ...