1. histoire intemporelle (1)


    Datte: 13/08/2023, Catégories: Gay Auteur: Etrenu, Source: Xstory

    ... vois un garçon le faire ! C’est donc que c’est normal ! C’est donc que je suis normal !
    
    L’homme ne porte plus qu’une fine chemise en lin. Le reste de ses vêtements est maintenant étalé sur un fil que le garçon a tendu en travers de la grange.
    
    Mon œil averti note qu’ainsi ils se protègent légèrement de la vue depuis la porte d’entrée. Pas bête. Il fallait y penser ! Et le garçon revient vers l’homme pour lui retirer ses lourdes bottes.
    
    Je reste pantois quand je vois le garçon passer derrière l’homme, entourer sa taille avec ses bras, poser ses mains sur sa ceinture, la défaire, puis déboutonner son pantalon. C’est que je suis totalement excité, débordé par ma pulsion quand je rêve qu’un garçon, un garçon comme celui-là, me fasse cela.
    
    Et il le fait ! Il repasse devant l’homme, s’abaisse, tire le pantalon vers le bas.
    
    Gentiment l’homme lui caresse les cheveux. Qui est-il pour lui ? J’ai cru que c’était son père. Un père et son fils, voyageant ensemble. Mais maintenant que je les ai à vue, à quelques mètres de moi, je réalise que ce n’est pas possible. Le garçon est trop âgé ; l’homme est trop jeune.
    
    L’homme pivote légèrement, me cachant la vue du garçon. J’ai le sentiment qu’il a embrassé l’entrejambe de l’ainé. Un son délicat comme un baiser. Ai-je rêvé ? Ou bien ai-je bien entraperçu, bien entendu ?
    
    L’homme ne porte maintenant plus que son long caleçon blanc et sa chemise de lin. Tranquillement il va s’assoir dans le fauteuil, sans lâcher le plus jeune ...
    ... du regard.
    
    J’observe son entrejambe. Elle me semble gonflée dans le caleçon. Mais la lumière est faible. Et ma vision limitée.
    
    En tous cas ma verge à moi se gonfle inexorablement. Se regonfle plutôt. Car elle était entièrement déployée, ma main en train de l’astiquer, quand les étrangers sont entrés dans la grange. Je me suis figé. La peur a fait replier mon excitation. Ma curiosité m’a fait me coucher sur le ventre, pour les observer.
    
    Je me félicite de cette cachette, en hauteur, où je peux sans risque me mettre tout nu, ou presque quand la température n’est pas là, et me donner longuement du plaisir en solitaire. La paille autour de moi a dû absorber des litres de semence depuis mes treize ans, âge auquel j’ai commencé ce jeu si agréable. Six ans plus tard, je ne connais rien d’autre des choses de la vie.
    
    J’ai laissé construire ma réputation de rêveur. Je suis tranquille comme ça. Les filles ne m’intéressent pas. A mon âge tous les garçons du village ont déjà conté fleurette à plus d’une. Pas moi. Je n’ai pas envie. Enfin si, j’ai envie. La preuve. Mais pas avec une fille.
    
    Mais là, brusquement, je regrette ma position. Ma verge durcit à toute vitesse. Le problème est qu’elle est posée vers arrière. La douleur est grandissante. Il faut que je soulève mon bassin pour qu’elle passe vers l’avant. Mais je risque de faire du bruit. Du bruit en me soulevant. Du bruit par le frottement de mon sexe écartant la paille en passant devant. Que faire ?
    
    Le garçon se place ...
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