1. histoire intemporelle (1)


    Datte: 13/08/2023, Catégories: Gay Auteur: Etrenu, Source: Xstory

    ... au dessus du vit dressé.
    
    Je ne suis pas étonné. Depuis un moment je sais que c’est cela qui va se passer. Je ne savais pas comment. Je ne savais pas quand. Mais je savais que, comme je le vois, ébahi, le garçon sentirait le sexe de l’homme pénétrer ses fesses en soufflant lourdement.
    
    L’homme tente de réfréner son ardeur. Il a le regard fier de celui qui s’extasie devant l’action de son élève ; inquiet aussi car il ne veut pas qu’il souffre.
    
    Il pose ses mains sous les fesses pour les relever. D’où je suis je ne vois pas bien. Je devine juste que le sexe s’enfonce peu à peu. Les fesses se relèvent, se réenfoncent, se relèvent à nouveau. A chaque fois elles vont un peu plus bas. A chaque fois le garçon souffle un peu plus fort. Mais c’est lui qui dirige la manœuvre. C’est lui le sodomite qui reçoit exactement ce qu’il a voulu.
    
    Peu après, le garçon, en nage, est assis sur le ventre de l’homme.
    
    Comment ignorer que le sexe est entièrement enfoncé en lui ? Cela se voit dans ses yeux resplendissants, dans son souffle qui tente de calmer son ardeur, dans la sueur de son épiderme, dans le frémissement de sa peau. Et surtout dans les élancements continus de son vit dressé.
    
    A-t-il mal ? Oui si j’en crois les mouvements du corps. Non si j’en crois son éclatant plaisir. Il l’a voulu. Il l’a eu. En lui. Bien profondément. Entièrement.
    
    L’homme pose une main sur son sexe dégoulinant de sève et tente de le branler. Mais le garçon refuse, rejette la main, en profitant pour ...
    ... se relever légèrement puis en retombant lourdement en poussant un gémissement.
    
    Ils s’embrassent. Je les trouve magnifiques, luisant de sueur dans la faible lueur de cette fin d’après-midi.
    
    L’homme se met à lécher les lèvres du garçon, puis son visage, son cou, son torse. Il mordille ses oreilles l’une après l’autre. Le garçon gémit de plus en plus. Il attrape ses propres fesses, les écarte comme pour détendre encore son conduit occupé.
    
    L’homme lui pétrit le fessier, le claque doucement comme on flatte l’encolure d’un cheval. « Bonne bête ! » semble-t-il dire. C’est en tout cas ce que je pense moi : ce garçon est un animal de toute beauté que je désire de tout mon corps ! Je veux chevaucher avec lui ! Non ! Je veux qu’il chevauche en moi comme l’homme chevauche en lui. Enfin… Pas encore. Mais je sais que cela va venir.
    
    Effectivement, se poussant de ses deux bras tout en étant soulevé par les mains puissantes de l’homme, le garçon commence à monter et descendre sur sa monture. Très lentement d’abord. De faibles mouvements. Puis de plus en plus amples, montant de plus en plus haut. Puis de plus en plus vite.
    
    Je dois fermer les yeux tellement le spectacle de leur enculade est somptueux. C’est trop beau pour moi. Je n’arrête pas de me dire que je veux être à la place du gars, que je le veux en moi. Pourquoi lui et pas moi ? Pourquoi n’y aurais-je pas droit ?
    
    Après un court galop faisant claquer fortement les fesses sur le ventre ferme dans une cadence de folie, ...