1. Un homme trop parfait...


    Datte: 10/08/2023, Catégories: fh, fplusag, jeunes, amour, soubrette, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, fsodo, amouroman, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... à l’oreille :
    
    — Rassurée ? Vous ne vous sentez pas… décalée ?
    — Dis-moi « tu », appelle-moi « mon amour », s’il te plaît… Joue le jeu jusqu’au bout.
    — Avec plaisir, mon amour… Ah ! Ce que c’est bon… Mais ? Mais chéri qu’est-ce que je sens ? Tu bandes ?
    — Naturellement. Je tiens la plus belle femme de la soirée dans mes bras, en plus je connais en détail son corps merveilleux, notamment ce joli triangle doré qui est à quelques millimètres de ma queue et trois épaisseurs de tissus, alors le désir se fait impérieux, et je bande.
    — Hum… comme j’aime ça. C’est bon d’être désirée, tu sais ? Surtout par un homme que l’on désire aussi. Je te propose de changer de jeu, ce soir. C’est moi qui te masturbe et c’est toi qui me masturbes. Ça te va ?
    — Hou-là-là ! C’est le supplice de tantale ? Jamais je ne résisterai à l’envie de glisser ma queue dans ta jolie chatte rose ou entre tes fesses sublimes…
    — On va être obligés de faire l’amour alors ? Chouette. Moi je ne bande pas, mais mon tampon est insuffisant, et je sens des choses qui coulent le long de mes cuisses… Je te préviens, je ne pourrai plus m’asseoir de la soirée.
    — On rentre alors ?
    — Hum… moui, encore une danse et on rentre.
    — C’est quoi ton parfum, je n’arrive pas à reconnaître ?
    — Cherche, hume et cherche. Quelles notes sens-tu ?
    — Soleil… Foin…
    — Hunhun, mais encore ?
    — Une touche de musc… discrètement poivrée…
    — Pas mal, et puis ?
    — Euh… noisette ? Non, amande.
    — Très bien, tu as tous les composants. Et ...
    ... ça s’appelle ?
    — Là, je donne ma langue au chat. Je ne connais pas assez les parfums pour ça. Mais il est vraiment bien, très discret, il faut être en toute proximité pour le percevoir.
    — Oui, j’ai horreur de ces parfums puissants qui laissent un sillage, qui se mélangent et vous coupent l’appétit à table. Celui-ci s’appelle « Anna », juste lavée avec une savonnette à l’amande douce.
    — C’est vrai ? Incroyable, j’ai hâte de le humer sur tout ton corps.
    — Alors on y va ?
    — Allons-y !
    
    Il faut bien encore une demi-heure pour dire au revoir à tout le monde, recevoir les derniers compliments et les dernières cartes de visite pour Anna, reine de la soirée. Dans la voiture, elle est tout sourire et semble heureuse.
    
    — Tu permets que je détache mon chignon ?
    — Oh, s’il te plaît, mon amour, garde-le encore un peu. J’ai tant envie de te contempler nue comme ça…
    — Ha-ha-ha ! Je l’aurais parié ! C’est bien pour ça que je t’ai demandé. Je crois que je commence à bien te connaître, mon Jérôme chéri.
    
    Tandis qu’elle grimpe les marches du perron, il peut constater qu’effectivement, une longue tache d’humidité marque ses fesses. Il déverrouille la porte et la laisse entrer, elle pénètre dans le salon et s’arrête au pied de l’escalier. Comme il s’approche, elle tend le bras et lui pose deux doigts sur le sternum, l’empêchant d’aller plus loin.
    
    — Prêt ? demande-t-elle à son cavalier étonné.
    
    En un geste autour du cou et deux déhanchements, la robe tombe à terre et Anna apparaît ...
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