Le Grand Paradis
Datte: 06/08/2023,
Catégories:
fh,
ff,
fffh,
hplusag,
jeunes,
asie,
inconnu,
fépilée,
lunettes,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
aventure,
occasion,
lieuloisi,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... anglais. N’est-ce pas l’Europe ? Et tout le monde finit par rire ensemble, et la patronne se fend d’une « coupe de l’amitié », ces jolis récipients de bois à plusieurs becs qu’on remplit de sucre, d’alcool et de café bouillant. On allume l’alcool au centre, on éteint les lumières, je sens une main sur ma cuisse qui n’est pas là par hasard. Quand l’alcool a fini de brûler, on se passe la coupe de bois et chacun boit une gorgée de liquide brûlant. Franca, l’Italienne fait en sorte de ne pas tourner la coupe que je lui tends et de boire au bec que j’ai utilisé en plongeant son regard de braise dans mes yeux. Il se fait tard, les filles récupèrent leurs duvets tout chauds avec des exclamations de joie et nous sortons. Franca me demande de l’aider à débloquer un volet qui a, paraît-il, gonflé avec la pluie. Elle en profite pour me tirer par la manche hors de l’éclairage et me roule une pelle délicieuse, sucrée et alcoolisée. L’occasion est trop belle de vérifier si j’avais raison, mes mains ne trouvent pas de soutien-gorge, mais deux tétons dressés, et plus bas elles détectent la présence d’un string minimaliste. Il fait froid, elle grelotte, elle rentre dans le café me tirant par la main, éteint les lumières et se fait prendre là sur une table, robe retroussée et string écarté. Elle feule et miaule comme un félin, se jette à ma rencontre à grands coups de reins, visiblement elle est en manque de sexe. Elle mouille presque autant que la cascade. Je profite pleinement de la ...
... situation étant, moi aussi, privé depuis quelque temps. Je fais glisser le haut de sa robe sur ses bras pour dégager ses seins, elle finit par se relever et faire glisser toute la robe ainsi que le string jusqu’au sol. Prenant appui sur la table, elle me tend sa croupe affamée, je la prends à grands coups qu’elle accompagne de râles rageurs. Des voitures passent sur la route, roulant pleins phares, elles éclairent par instant la salle de leurs projecteurs mobiles. J’en profite pour admirer le corps svelte que je pilonne. Ma main contourne ses hanches et cherche son clitoris, prenant tout le lubrifiant nécessaire autour de ma queue. Dès que je masse le petit bouton, elle part dans des soubresauts d’orgasmes à répétition. J’accélère, je renforce à grands coups de reins, je lui pince une pointe de sein et le petit bouton, elle crie comme une perdue. Dans un dernier assaut extrêmement violent, je saisis ses hanches alors qu’elle se redresse un peu, et je l’empale en la décollant du sol à chaque coup de boutoir, jusqu’aux quatre derniers élans accompagnant mes jets de sperme brûlant. Elle retombe comme un pantin entre mes mains, nous sommes essoufflés, épuisés. Je range mon matériel, elle se retourne et m’embrasse à nouveau.
— Tou réviens démain ?
— Bien sûr…
Tout ce que vous voulez, mais ça fait du bien. Le Grand Paradis a retrouvé son enveloppe d’étoiles, je vais me coucher le cœur et les testicules légers. Le lendemain, dès le lever du jour, je remonte voir mon spectacle favori ...