1. Pornoville, ma famille et moi (4)


    Datte: 06/08/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Cassandro, Source: Xstory

    ... poils pubiens et ai humé très fort. J’ai caressé son ventre. Lentement, je suis descendu jusqu’à son entrejambe. J’ai massé son bouton. J’ai approché ma bouche puis ma langue de son mont de vénus et là tout est devenu plus bestial. J’ai goûté, comme un animal affamé, à son vagin, à ses plis, chacune de ses lèvres, le capuchon de son clitoris et son gland. J’ai léché, titillé avec mes doigts puis suis remonté le long de son corps jusqu’à sa bouche.
    
    Dans mes pensées, mon corps s’est aligné avec le sien, ventre contre ventre. Ma langue s’est enroulée dans la sienne. Mon pénis a glissé au-dessus de sa fente, se creusant un passage sans entrer à l’intérieur. J’ai fait des va et vient lents puis rapides. Je l’ai prise dans mes bras et l’ai serrée très fort alors que j’entrais dans son creux chaud et humide. Elle a croisé ses jambes sur mon dos dans une position un peu improbable qui lui permettait de me prendre en pince. J’ai continué mes saillies. Nous étions si soudés l’un à l’autre que malgré le mouvement de nos corps, ses seins restaient sans bouger, pressés contre mon buste. Nous étions si soudés qu’après l’avoir embrassée tant et tant d’une lèvre à l’autre, de la langue au gland, nos corps se sont mélangés. J’ai fondu en elle. Elle m’a absorbé.
    
    Pendant que mes pensées étaient toutes à cette vision de plus en plus fantasque, je me branlais jusqu’à éjaculer. Lorsque des giclées de liquide chaud et visqueux sont venues tâcher mes poils pubiens, cependant, je ressentais ...
    ... un manque profond. La scène n’était pas réelle. La voisine d’en face et son corps impétueux derrière sa fenêtre n’étaient pas là. Ça ne sentait pas l’abricot, ça sentait la biscotte. Pas de souffle rauque, pas de petits gémissements de plaisir étouffés dans l’étreinte, mais ma belle-mère qui beugle « À table ». Pas de première fois avec la voisine donc, mais moi, puceau, qui enfile des pantoufles et descend prendre un petit déjeuner en famille.
    
    *
    
    Valentine:
    
    J’adore sucer. J’aime ce contrôle que j’exerce sur mon partenaire quand je sens sa bite se gonfler, durcir dans ma bouche, le liquide préséminal suinter du bout de son gland et sa jouissance se suspendre à ma volonté.
    
    — Ah, on dirait bien que Florian s’est décidé à nous rejoindre à table, lance ma fille, un sourire moqueur sur les lèvres, presque cynique.
    
    Je fais semblant de prêter attention au déjeuner. Je repense à cette nuit. La punition que j’ai infligée à Cassandro m’a excitée. Couchée, seule aux rênes d’un lit double à baldaquin, je me suis éparpillée en songes érotiques dégradants, m’imaginant humilier et dominer mon impertinent mari en public.
    
    — C’est qui le vilain homme qui vomit par la bouche ? C’est Cassandro et sa toute petite bite !
    
    Et vlan ! Je lui donnais un coup de cravache sur les fesses devant tous ses collègues de travail. Des rires éclataient. Mon homme était rouge de honte mais excité comme pas deux, la verge dressée. Le plaisir qu’il prenait était évident et cela redoublait son ...
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