1. Vacances naturistes (1)


    Datte: 06/08/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Robinson33, Source: Xstory

    ... vas bientôt me faire croire que ta sœur a acheté un bungalow dans un camp où il n’y a que des homos. C’est fou ce que c’est crédible.
    
    Je lui pinçais une fesse, et elle se tortilla sans lâcher ma taille. Je raffermis mon étreinte et nous reprîmes notre marche.
    
    Vint une femme d’à peu près le même âge. Peut-être la compagne de l’admirateur précédent. Elle n’était pas trop mal foutue, mais je n’allais pas dire ça à ma mère.
    
    — Belle poitrine, bien que moins attirante que la tienne, mais surtout des fesses en gants de toilette. Rien à voir avec toi, ni pour le plaisir des yeux ni pour celui des mains.
    
    Disant cela, je lui caressai une fesse. Elle me donna une tape sur la main et reprit ma taille. J’avais repéré un bar lors de ma visite à la supérette. Nous nous installâmes en terrasse. Je commandai deux mojitos. Elle protesta :
    
    — Un mojito ? Tu veux me saouler ?
    
    — Détends-toi, nous sommes officiellement en vacances depuis aujourd’hui. Ça se fête.
    
    La jeune fille qui avait pris ma commande nous apporta les boissons. Elle devait être un peu plus âgée que moi, brune, les cheveux longs et un beau cul.
    
    — Rien à dire côté postérieur. Moins sexy que le tien, mais parfaitement acceptable. Non, ce qui cloche, c’est la poitrine. Je ne me risquerai pas à la caresser. C’est un coup à se planter des échardes dans les mains. Cette fille, c’est une planche !
    
    Elle pouffa. Je me penchai à son oreille :
    
    — Alors que toi, tu as une magnifique paire de seins sur laquelle il ...
    ... n’y aurait aucun risque de se faire mal.
    
    — Tu as l’intention de me décrire les défauts de toutes les femmes que nous croiserons ?
    
    — Non, pas toutes. Je t’épargnerai les sexagénaires et les mineures. Elles partent de trop loin. Seulement les 18 à 50 ans. Jusqu’à ce que tu sois bien convaincue que tu es la plus belle.
    
    Nous sirotâmes ainsi notre cocktail tout en devisant sur ceux qui s’installaient au bar ou passaient devant. J’avais tourné ma chaise de façon à être à côté d’elle, pas en face. Elle se tenait de façon décontractée, les jambes légèrement écartées, si bien que j’apercevais sa fente. Je posai bientôt ma main sur sa cuisse, à la limite de son pubis, presque chastement. Elle ne tarda pas à en faire de même. Je lui glissai mes remarques sur la gent féminine dans le creux de l’oreille, ce qui me permettait de me pencher sur elle à chaque fois. Nous restâmes une heure ainsi, détendus et complices, puis elle sonna la retraite. Sur le chemin du retour, je passai à nouveau mon bras autour de sa taille, et elle en fit de même. Ce n’était pas le plus pratique pour marcher. Cette étreinte et les tongues nous donnaient une démarche chaloupée qui mettait régulièrement en contact nos deux corps. J’adorai ça. J’aimai la toucher.
    
    Nous fîmes un sort à la salade sur la terrasse, puis nous rentrâmes avant que les moustiques n’arrivent. J’ignore s’il y en avait cette année, mais les moustiquaires aux fenêtres témoignaient que cette éventualité n’était pas à exclure. Il n’y ...
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