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Vacances naturistes (1)
Datte: 06/08/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Robinson33, Source: Xstory
... Laisse-moi examiner le reste de ton anatomie. Disant cela, je me glissai derrière elle et la serrai dans mes bras. Mes mains étaient posées sur son ventre, à relativement bonne distance à la fois de ses seins et de sa toison. Puis je m’accroupis, mes mains glissant sur ses hanches. Mon visage était désormais à la hauteur de ses fesses. Sa taille s’évasait sur un fessier de toute beauté, généreux sans être trop volumineux, et visiblement bien ferme. Ce magnifique arrière-train était prolongé par des jambes plutôt longues et assez musclées. Rien à redire à ce que j’avais sous les yeux. — Tu as un magnifique postérieur, lui dis-je en déposant un baiser furtif sur une fesse. Cette fois, elle ne prit pas la peine de protester, mais elle remua son popotin comme pour chasser une mouche importune, ce qui eut comme effet de mettre à nouveau mon visage en contact avec son anatomie. Je ne me plaignis pas. — Voyons le reste, dis-je en faisant pivoter son bassin. J’avais désormais son vagin à moins de cinq centimètres de mon nez. Sa toison châtain clair était taillée de façon à ne pas déborder d’un éventuel maillot. Elle dégageait complètement sa fente. Ses petites lèvres sortaient un peu de celle-ci. J’avais une envie folle d’y poser mes lèvres, mais je m’abstins. J’étais sûr que là, elle exploserait. Je murmurai en face de son pubis : — Tu es vraiment très sexy. Les mains toujours posées sur ses hanches, je me dépliai, mon nez frôlant au passage la pointe d’un de ses ...
... seins. J’étais plus grand qu’elle. Je me penchais en avant et la pressais contre moi. Ses seins se plaquèrent sur mon torse. Je sentais mon sexe se redresser. Je murmurai au creux de son oreille : — Tu es vraiment une femme magnifique. Tu n’as pas à t’inquiéter du regard des autres. La seule chose qu’ils penseront est qu’ils aimeraient bien te serrer dans leurs bras. — Que tu dis, beau parleur. Je fis glisser une main sur ses reins, à la limite de sa raie, et la pressais un peu plus vers moi. Elle ne pouvait ignorer mon début d’érection. Elle posa ses mains sur mes épaules, m’écarta un peu et posa son regard sur ma verge semi-rigide. — Je suis désolé, lui dis-je. Tu es trop sexy. Elle aurait pu se fâcher, mais n’en fit rien. Elle conclut simplement : — C’est mignon... Je décidai de pousser mon avantage. Je conservai mes mains autour de sa taille et la poussai vers la porte. — Viens, allons affronter le monde. Tu vas exciter la convoitise des hommes, et moi, leur jalousie. — Tu racontes n’importe quoi. Mais elle me suivit. Je ne lâchais pas sa taille, et elle finit par poser à son tour son bras autour de la mienne. Elle ne semblait pas craindre le regard des autres. Nous croisâmes un homme d’une quarantaine d’années, qui nous suivit un instant des yeux. Je lui murmurai à l’oreille : — Littéralement, ça s’appelle faire tourner les têtes. — Moi ? Pas du tout, protesta-t-elle. C’est toi qu’il dévisage. — Ben voyons... Un homosexuel, donc. Tu ...