1. La crique des pommes (1)


    Datte: 04/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Dyonis, Source: Xstory

    ... agréable de sentir ta main m’effleurer comme cela. Il faut juste le reconnaître. Et maintenant, j’ai envie de t’entendre dire que tu as caressé ma petite chatte.
    
    — Mais pourquoi veux-tu que je dise cela Eva ?
    
    Anaïs était prête à craquer sous la tension. Elle avait l’impression qu’Eva la poussait dans une posture qu’elle avait toujours refusé d’imaginer. Celle d’un contact sexuel avec une femme ... Mais là, dans cette situation un peu forcée, elle devait reconnaître son trouble, qui prenait la forme d’une onde liquide tout en bas de son ventre. Ses lèvres gonflaient de manière irrépressible, et sa fleur, gorgée de désir s’ouvrait sous la poussée de son nectar.
    
    — Parce qu’au fond de toi, tu en as envie Anaïs !
    
    C’était vrai. Mais il restait la barrière de sa pudeur, face aux mots qu’Eva lui demandait de prononcer. Une barrière invisible, elle aussi sur le point de céder.
    
    — Allez, répète après moi Anaïs ... Pardon Eva ...
    
    Vaincue, Anaïs reprit les mots d’Eva :
    
    — Pardon Eva ...
    
    — Bien Anaïs ... Pardon Eva d’avoir caressé ta petite chatte.
    
    Après un petit silence, comme une dernière résistance, Anaïs s’abandonna :
    
    — Pardon Eva, d’avoir caressé ta petite ... chatte.
    
    Un barrage venait de se rompre. Anaïs se prit le visage dans les mains et se sentit à la fois submergée et libérée d’un poids qu’elle ne comprenait pas encore.
    
    Le rire bienveillant d’Eva la réconforta, pendant qu’elle l’enlaçait pour lui témoigner sa reconnaissance d’avoir ...
    ... osé.
    
    Puis elle dit, avec un petit clin d’œil complice :
    
    — Allonge-toi sur le dos maintenant. Tu as bien mérité un petit bonus.
    
    Une fois Anaïs installée, Eva recommença à parcourir ses pieds, ses jambes, puis ses cuisses.
    
    Une nouvelle fois, elle lui demanda d’écarter les jambes.
    
    Eva commença alors à caresser l’intérieur des cuisses d’Anaïs. Avec une infinie lenteur.
    
    Anaïs, rattrapée par son excitation, sentit le vent frais et la chaleur des rayons solaires enflammer sa fleur. Eva ne pouvait pas ne pas le voir, ce qui ajoutait à l’érotisme torride du moment.
    
    Effectivement, Eva regardait la vulve imberbe d’Anaïs. Ses grandes lèvres devenues pourpres et gonflées, et surtout, la liqueur qui brillait au centre de sa fente ouverte.
    
    — C’est Paul qui te demande de t’épiler comme ça ?
    
    — Oui.
    
    — Et tu veux me faire croire qu’il ne te fait l’amour qu’une seule fois par semaine ?
    
    — Mais c’est vrai, je te jure ...
    
    — Alors que fait-il le reste de la semaine ? Il se limite au fantasme ? Et toi, tu ressens quoi dans ta petite culotte ? Ou dans ton string translucide ?
    
    Anaïs ne répondit pas.
    
    Eva continua ses caresses en remettant copieusement de la crème. Elle aussi commença à ressentir les mêmes symptômes qu’Anaïs. Elle ne jouait plus vraiment avec elle.
    
    Continuant à effectuer les lents mouvements de va-et-vient, elle arriva à effleurer le sexe d’Anaïs, qui se cambra en gémissant.
    
    — Pardon Anaïs, d’avoir caressé ta petite chatte...
    
    Puis elle ...
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