1. La crique des pommes (1)


    Datte: 04/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Dyonis, Source: Xstory

    ... se mit alors à faire monter et descendre la paume de ses mains, lentement, remontant chaque fois un peu plus haut, vers cette ouverture que les hommes aiment à appeler l’empreinte du doigt de Dieu.
    
    Eva apercevait la fleur d’Anaïs, formée de grandes lèvres toutes lisses, au cœur desquelles les petites lèvres ressemblaient à des pétales tout roses.
    
    Elle reprit ses mouvements de va-et-vient, venant cette fois frôler la vulve d’Anaïs, qui n’osait pas intervenir, tétanisée par le plaisir autant que par une double incertitude.
    
    Celle de ne pas savoir jusqu’où était prête à aller Eva ... et celle de ne pas savoir jusqu’où elle avait envie de la laisser faire.
    
    Eva décida donc de la suite, quittant cet écrin qui commençait à brûler de désir, pour masser les fesses voluptueuses d’Anaïs. Puis elle remonta pour protéger également son dos, en massant très sensuellement sa cambrure, sa taille, ses flancs et termina son massage en de larges traversées dorsales, qui finissaient par des caresses légères sur les flancs, à la naissance de ses seins. Tant de volupté mit Anaïs en émoi.
    
    — Allez hop, à toi maintenant...
    
    Pendant qu’Anaïs se relevait lentement, encore enfiévrée de cet instant, Eva s’allongea, écartant elle-même les jambes, pour laisser plus de liberté aux mains de son amie.
    
    Anaïs, de ses mains fines, parcourut ses jambes, ses cuisses et ses fesses, calquant ses gestes sur ceux qu’Eva lui avait délivrés.
    
    Mais ce ne fut plus qu’une simple répétition, tant la ...
    ... découverte du corps d’une femme fut pour l’une et l’autre, une chose nouvelle.
    
    Eva n’avait jamais rien ressenti de comparable à la douceur féminine de ces caresses.
    
    Anaïs n’avait jamais ainsi exploré la soie d’une peau si fine et imberbe.
    
    Ainsi troublée, il advint qu’elle effleura la vulve d’Eva, laquelle laissa juste échapper un soupir de plaisir, plus fort que les autres.
    
    — Oh pardon, pardon Eva, je ne voulais pas ...
    
    Eva décida d’en profiter pour bousculer un peu la candeur d’Anaïs.
    
    — Tu ne voulais pas quoi ?
    
    — Et bien ...
    
    — Oui ?
    
    — Je crois que je t’ai touchée, que j’ai touché ta ...
    
    — Ma quoi Anaïs ?
    
    Anaïs sentit un feu ardent la dévorer toute entière, à l’idée de devoir prononcer l’objet de son geste. Mais elle sentit qu’Eva ne la lâcherait pas.
    
    — Et bien ... ta vulve ...
    
    — Ma vulve ?
    
    — Oui ...
    
    — Tu veux dire ma petite chatte ?
    
    Anaïs ne put répondre, tant il se passait ce qu’elle redoutait. Pourtant, elle sentait profondément en elle, un raz de marée prêt à l’emporter. Et ce raz de marée était en train de liquéfier son petit minou.
    
    — Alors ? C’est bien cela que tu voulais dire ?
    
    — Oui.
    
    — Alors, ose. Ose le dire. Oui, dis-le.
    
    — Mais dire quoi ?
    
    Anaïs savait bien où Eva voulait l’emmener. Mais elle résistait encore.
    
    — Que tu as caressé ma petite chatte.
    
    — Tu veux que je te dise ça ?
    
    — Tu l’as fait ou pas ?
    
    — Oui, mais ...
    
    — Même si tu ne l’as pas fait exprès, tu l’as quand même fait. Et c’était très ...
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