La Coloc' (2)
Datte: 03/08/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Poiluhds, Source: Xstory
... position, se retourne vers le mur en s’appuyant sur le plan de travail immaculé en Corian.
— Prends-moi.
Je n’en crois pas mes oreilles. Quel mec ! Si mignon, si timide il y a 10 minutes et maintenant totalement offert.
Je défais ma ceinture, et mon caleçon rejoint rapidement mon pantalon sur mes chevilles. J’ai eu envie de me foutre complètement à poil, mais mon désir de son cul est trop fort. Il y a urgence.
Je m’agenouille derrière lui, tant pis pour les marques sur mon costume qui m’a coûté 600 euros. J’écarte les deux globes musclés et velus de ses fesses et glisse ma langue sur son trou. Je n’ai pas de temps à perdre. Il faut que je le goûte, que je connaisse tout de son intimité, que je le bouffe à grands coups de langue sur sa petite chatte poilue qui me rend fou.
— Oh putain... C’est bon.
J’adore. Il est décidément de moins en moins timide.
— Baise-moi.
— J’ai pas de capote. T’en as toi ?
— Non, pas prévu...
— M...
Je ne vais pas pouvoir le baiser, mais il y a d’autres options. Je me redresse, je prends ma queue dans ma main droite et je viens frotter mon gland en feu contre sa rosace velue. Ca me rend fou, comme à chaque fois, mais peut-être qu’aujourd’hui, c’est encore autre chose.
Il ouvre son cul autant qu’il peut, saisissant ses belles fesses de ses deux mains pour me faciliter le passage. Je laisse couler de longs filets de salive bien ciblés sur son trou pour que la peau de mon gland résiste au frottement contre son ...
... orifice. Son anus est doux, bien mouillé, je n’ai pas mal. Juste un plaisir dément qui me monte au cerveau.
— Oh, oui, c’est bon.
— Tu aimes ma queue sur ton trou ?
— Ouiiiiii, c’est trop bon. Tu vas jouir ?
— Oui. Trop envie de rentrer. Ca m’excite grave. Ton trou est trop bon.
— Tu veux bien jouir sur mon cul ?
— Oui. On va faire ça.
Notre petit jeu se poursuit de longues minutes. Il a desserré sa cravate, je déboutonne sa chemise en passant mes mains sur son torse sans que ma queue quitte sa raie une seconde. C’est trop bon pour que je m’interrompe. Je relève sa chemise bleue finement rayée, ajustée à son corps ferme et dessiné, pour dégager son dos et ne pas risquer de la tacher.
J’adore la courbe de ses reins, là où ses fesses poilues laissent la place à une peau lisse d’une étonnante douceur.
— Oh oui, jouis sur mon cul Julien.
— Je viens.
— Oui... mouille-moi bien de ton sperme...
Il sait me parler. Je frotte encore mon gland entre ses fesses, contre son anus, dans la douce forêt touffue de sa raie et je passe un cap irréversible. Ces simples caresses ont raison de moi...
— Je vais jouir !
— Ouiiiiii.
Il se cambre un peu plus encore et je vois jaillir de ma verge lovée entre ses fesses six longs jets de mon sperme blanc et épais qui se répandent sur toute la surface de son dos.
— Oh, p..., c’est bon, j’ai senti chaque goutte.
Il aime. J’adore. Il s’effondre sur le plan de travail, comme épuisé.
L’appartement est vide et je ...