1. La Coloc' (2)


    Datte: 03/08/2023, Catégories: Gay Auteur: Poiluhds, Source: Xstory

    ... d’aller prendre un verre ?
    
    — En fait, j’ai pas les papiers nécessaires pour le bail...
    
    — Ah non, c’était pas pour le bail... juste...
    
    Sébastien semble mal à l’aise. J’essaye de l’aider à exprimer ce qu’il veut me dire.
    
    — Juste ... pour le plaisir ?
    
    — Euhhh... oui...
    
    Je m’approche de lui, pose la main droite sur la bosse de sa queue que je devine dure dans son costume et la gauche derrière sa nuque pour amener ses lèvres vers les miennes. Jamais je ne me serais imaginé faire cela dans ce contexte, mais je suis irrésistiblement attiré par ce garçon à la fois sublime et apparemment timide.
    
    Il ouvre ses lèvres à mon baiser et nous nous serrons très fort l’un contre l’autre. Je ne sais pas ce que je dois imaginer. Prendre l’initiative au risque qu’il prenne peur... mais je n’ai pas envie non plus de résister au désir qu’il m’inspire.
    
    — ... Julien...
    
    — Oui Sébastien ?
    
    — J’ai envie de toi...
    
    — Moi aussi... viens.
    
    Nous allons dans la cuisine et je plaque le beau petit commercial contre le plan de travail. Je défais sa ceinture, ouvre le bouton de son pantalon, descends la fermeture éclair et plonge la main sous l’élastique de son caleçon pour sentir la chaleur et la dureté de son pénis encore emprisonné. Ma paume glisse le long de son sexe et je comprends qu’il est particulièrement bien équipé. Du bout des doigts, je m’amuse à repousser son prépuce et je sens l’humidité de son gland excité par le contact du tissu.
    
    Je m’écarte un peu et d’un ...
    ... geste vif, descends son caleçon sur ses chevilles. Sa queue, spectaculaire, épaisse, libérée, se dresse à l’horizontale. Je l’admire. Blanche, il n’a pas fait de naturisme ces derniers temps. Parcourue par de grosses veines en relief. Son gland violacé brille de son lubrifiant et je fixe du regard, fasciné et fou de désir, le trou qui termine ce pieu viril sublime.
    
    Je suis concentré, mais je pense aussi à ces films d’un certain label spécialisé dans les duos de vrais mâles que j’adore et qui mettent en scène une ébouriffante collection de super mecs poilus en costume qui finissent par se prendre avec la plus convaincante des énergies.
    
    Je suis moi aussi en costume parce que j’avais des rendez-vous importants et je regrette presque qu’il n’y ait pas une caméra pour fixer les images du corps bandant de Sébastien.
    
    Je prends son beau gros gland dans ma bouche. C’est divin. Il est lourd sur ma langue qui s’agite frénétiquement tout autour. Visiblement, Sébastien est de ces mecs qui grimpent aux rideaux quand on sait jouer avec la sensibilité particulière de cette fascinante composante de la morphologie masculine. Je me caresse à travers l’étoffe de mon costume et de mon caleçon, mais je suis tellement excité que j’ai presque l’impression que le tissu s’efface entre la peau de mon pénis et ma main.
    
    Comme je commence à avoir un peu mal dans cette position accroupie devant le sexe de Sébastien que j’avale aussi loin que possible, je me relève. Il en profite pour changer de ...