1. La bourgeoise et le marabout (76)


    Datte: 31/07/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... rapprochés et se branlent en profitant du spectacle.
    
    Au bout d’un bon quart d’heure, les deux mâles se retirent, enlèvent leur capote et jouissent longuement sur notre croupe. Leurs longs râles témoignent de leur plaisir. Je n’ai pas le temps de changer de position que l’on me saisit de nouveau par la taille. Un gland se frotte à ma rondelle et voilà que l’on m’encule d’un profond coup de queue.
    
    Tout en ondulant de la croupe pour que mon étroit fourreau s’adapte à cette bite inconnue, je jette un œil à Marie-Henriette. Quelle surprise ! C’est François qui est en train de se faire sucer. Ce serait donc le troisième homme qui serait en train de m’enculer. Finalement peu importe ! Ce qui compte pour moi c’est que l’on me fasse jouir de nouveau.
    
    François loue les louanges de Marie-Henriette
    
    — Oh Marc Antoine, votre mère suce comme une reine !
    
    — Elle doit avoir de longues heures d’entraînement derrière elle !
    
    — Vous l’avez superbement éduquée !
    
    Marc Antoine, que je ne vois pas dans mon champ de vision, lui répond
    
    — Oui, le b-a-ba d’une salope c’est de savoir faire une bonne fellation !
    
    — En général, elle vient me sucer tous les soirs avant de se coucher.
    
    — Elle prend en quelque sorte son médicament du soir !
    
    Les entendre ainsi faire leurs commentaires m’excite. Je gémis
    
    — Oh oui. Plus profond !
    
    — Encore, oui je suis une pute. Baisez moi !
    
    De nouveaux voyeurs se sont rassemblés autour de nous et se branlent sans vergogne en matant ces deux ...
    ... bourgeoises matures offertes dans la pénombre. L’homme qui m’encule m’a maintenant bien lubrifiée et sa queue coulisse parfaitement dans mon étroit boyau. Même si je ne suis plus une néophyte de la sodomie, j’apprécie toujours la saille anale car je sens bien mieux la queue de cette manière que lors d’une pénétration vaginale.
    
    Soudain, François demande à Marc Antoine
    
    — Cher ami, cela ne vous ennuie pas si je jouis dans la bouche de votre mère. Sa bouche est si chaude et accueillante que l’envie de m’y répandre est trop forte.
    
    Marc Antoine lui répond
    
    — Bien sûr François ! Ne vous gênez pas, nous sommes entre gens responsables !
    
    Mon mari lui lance alors
    
    — Si vous le souhaitez, n’hésitez pas à bien vous vider dans la croupe de mon épouse. C’est en quelque sorte un échange de bons précédés !
    
    C’est donc le fils de Marie-Henriette qui est en train de m’enculer et non pas le troisième inconnu comme je le pensais. Mais qu’importe, c’est si bon !
    
    Une fois que François et Marc Antoine se sont bien vidés, le premier dans la bouche de Marie-Henriette et le second dans ma coupe, ils nous demandent de rester assises sur le banc. François lance alors aux voyeurs
    
    — Messieurs, vous pouvez maintenant venir arroser ces deux chiennes qui ne demandent que ça !
    
    Il n’en fallait pas plus pour que l’on se retrouve vite avec des queues à portée de mains. Pendant qu’ils se branlent, Marie-Henriette et moi leurs caressons les bourses et les cuisses. Nous savons bien toutes ...