1. La bourgeoise et le marabout (76)


    Datte: 31/07/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... slaves.
    
    L’un d’eux sort son téléphone portable et l’allume pour mettre un peu de lumière. Après nous avoir ausculté le visage, le portable descend un peu plus bas pour nous éclairer le corps puis les jambes. Cette rapide inspection semble satisfaisante car la lumière s’éteint et les trois hommes se rapprochent un peu plus. Le bruit de fermetures éclair nous fait comprendre qu’ils sont en train de se débraguetter. Dans la foulée, Marie-Henriette et moi nous retrouvons en train de sucer une queue encapuchonnée dans un préservatif. Si ces trois messieurs ont l’habitude de fréquenter régulièrement le Bois de Boulogne, ils ont bien raison d’être prudents. Et nous deux aussi !
    
    Je ne sais nullement comment est la bite que suce ma voisine, mais la mienne est d’un calibre plus qu’intéressant. J’entends les bruits de succion de Marie-Henriette et cela m’excite de nous savoir toutes les deux à l’ouvrage comme deux professionnelles du bois. Les trois hommes semblent satisfaits de nos services même si je ne comprends rien à ce qu’ils se racontent. J’imagine que ce doit être quelque chose comme
    
    — Quelle chance d’être tombés sur ces deux bourgeoises !
    
    — Elles ont des heures de vol mais ce n’est pas pour me déplaire !
    
    — Pressez-vous ! J’ai envie de me faire sucer à mon tour.
    
    — T’inquiète pas ! Je suis sûr qu’elles ont envie de se faire baiser !
    
    C’est finalement Marie-Henriette qui se décide la première à passer aux choses sérieuses. Elle se lève, remonte sa robe, se ...
    ... positionne à genoux sur l’assise du banc les bras appuyés sur le dossier et tend sa croupe en arrière. Celui qu’elle suçait comprend vite qu’il peut prendre possession des lieux. C’est d’autant plus facile que ni elle ni moi ne portons de petite culotte. L’organisateur de la soirée « Canilingus et plus si affinités » les a en effet conservées tout à l’heure après les avoir fait sentir aux deux chiens qui nous ont longuement saillies.
    
    La mère de Marc Antoine commence à exciter l’homme en lui parlant
    
    — Oui, vas-y ! Baise moi bien !
    
    — Oh oui, ça va plaire à mon fils !
    
    Mais bien vite la bite que vient de lui planter en bouche le troisième homme l’empêche de poursuivre. Ce n’est finalement pas grave puisque les trois lascars ne peuvent pas comprendre.
    
    Ne voulant pas laisser ma voisine prendre l’avantage sur moi, je me positionne à côté d’elle sur le banc. Ma mini jupe est si courte que mon assaillant n’a qu’à se rapprocher pour me planter sa queue dans la chatte. Bien évidemment, il n’a pas de mal à y faire sa place et le voici déjà en train de me besogner à grands coups.
    
    Tandis que les deux hommes placés du même côté du banc nous baisent en cadence et en semblant commenter nos prestations, celui qui est de l’autre côté ne perd pas le nord. Il passe d’une bouche à l’autre, se faisant sucer quelques secondes par Marie-Henriette puis venant profiter quelques instants de ma bouche avant de repartir voir ma voisine. Du coin de l’œil, je vois que nos deux hommes se sont ...