Dressage d'une flic arrogante (6)
Datte: 29/07/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Blueberry89, Source: Xstory
... mots pour comprendre ce qu’il veut : que je le chevauche. Mais avant, ses doigts fouillent mes replis humides, me rendant complètement dingue. J’ai trop besoin de le sentir en moi… Il me faut peu de temps pour me retrouver sur lui et empoigner son sexe bien raide. Il est là, juste à l’entrée de ma grotte, qui ne désire que l’engloutir dans ses ténèbres et pourtant, j’hésite.
Pas bien longtemps, car de sa main libre et d’un mouvement du bassin, Stan vient m’empaler lentement, alors que je reste immobile, savourant chaque centimètres de cette chair qui s’immisce en moi. Le plaisir est si fort… il m’en faut plus ! Je relâche mes jambes, plantant sa chair dans mes profondeurs, me délectant de sa présence. Enfin, je retrouve ce plaisir intense, cette sensation d’être enfin complète, entière. Il m’assène des coups de reins, se propulsant jusqu’au fond et moi je suis bien trop enivrée de sensations pour bouger. C’est la douleur de sa main s’abattant sur ma fesse qui me fait réagir et enfin, j’ondule sur lui, cherchant à lui faire atteindre la jouissance. Mes mains se crispent sur les draps alors que la vague déferle sur nous, mes cris d’extase répondent en écho aux siens et nous chavirons, emportés dans les bras de Morphée.
C’est la sonnette de son appartement qui nous tire de cette petite sieste improvisée et, alors que Stan se lève pour aller récupérer notre repas, je ne peux m’empêcher de le dévorer des yeux. Je ressens alors une bouffée de fierté au souvenir des mots ...
... qu’il a prononcé tout à l’heure. Je suis à lui et il est à moi. Ce n’est pas le genre de mec à déballer ses sentiments et je sais que cette phrase lui a coûté, mais j’ose penser que c’est sa façon de me dire qu’il m’aime. Parce que pour une fois, notre étreinte était douce, mêlée de tendresse et de sentiments. Pour une fois, ce n’était pas de la simple baise, ni même une baise explosive comme on en a l’habitude, non. Pour une fois, on a fait l’amour.
Et c’était bon. Même si je préfère toujours la fougue dans nos étreintes, c’est exactement ce dont j’avais besoin pour me sentir de nouveau moi, de nouveau sienne. Mais il manque encore quelque chose. Et je sais quoi.
— J’espère que tu as faim, dit-il en entrant avec deux sacs bruns en papier dont une forte odeur de poulet émane.
— Je veux que tu me punisses.
Il en reste muet de stupeur et me regarde sans comprendre.
— J’en ai besoin, s’il te plaît…
— Meg…
— Punis-moi je t’en prie... C’est le seul moyen pour que tu puisses me pardonner.
— Mais je n’ai pas besoin de te pardonner.
— Et bien fais-le pour moi. Pour que Je me pardonne.
— D’accord… Faisons ça maintenant alors ! dit-il en laissant les sacs tomber au sol.
— Mais et ton écharpe ?
— Je n’ai besoin que d’une main pour empoigner un fouet.
— Un fouet ? déglutis-je
— Tu as quelque chose à dire sur la punition ?
— Non, répondis-je d’un air plus assuré
— Bien. A quatre pattes alors, mets-toi en position.
Stan va chercher le fouet ...