La stoppeuse (3)
Datte: 28/07/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... vendredi, Amir arrive vers dix-neuf heures, nous prenons l’apéritif, une certaine gêne flotte au-dessus de nous. C’est Noûr qui rompt le silence.
— Bon, j’ai étudié la question, il va falloir que tu la fécondes six fois, une fois cette nuit, une fois demain matin, une fois demain en début d’après-midi et une fois le soir, pareil dimanche matin et en début d’après-midi. D’accord Amir.
— Tu veux me crever.
— Non Amir chéri, mais nous n’avons qu’un week-end, il faut mettre toutes les chances de notre côté.
— OK, je suis votre homme.
— Le seul qui peut me toucher, même nue.
Nous dinons tranquillement, à la fin du repas, nous allons dans la chambre, Amir regarde Noûr étonné.
— Tu viens aussi ?
— Tu ne penses pas que je vais te laisser faire l’amour à ma copine sans être avec elle, c’est notre enfant, je veux participer.
— OK, OK.
— Et puis qui va la préparer ?
Amir a une très belle bite, pas monstrueuse, mais d’un beau gabarit, comme je les aimais avant. Je m’allonge sur le lit, Noûr se met à quatre pattes entre mes jambes, elle pose sa bouche sur mon sexe, je commence à mouiller grave, quand elle me sent prête, elle se retire, je regarde Amir, sa bite est dressée vers le ciel, il vient se mettre au-dessus de moi, les bras tendus. Son sexe touche mes lèvres, je ne ressens rien de particulier, aurais-je tant changé, ce contact m’aurait fait exploser de bonheur il y a un peu plus de quatre ans. Son sexe s’enfonce sans problème dans le mien. Il ...
... commence ses va-et-vient. Je ne ressens rien de particulier, simplement un engin que va-et-vient dans mon sexe. Heureusement que Noûr m’a préparée. Au bout d’un moment, je le sens se raidir, il jouit. Je sens un peu son sperme me remplir le vagin. J’espère que ça va marcher, j’ai trop envie d’un enfant. Il se retire, je ne vois pas de joie particulière sur son visage, il me regarde en souriant.
— J’espère que ça va marcher, qu’est-ce que je fais maintenant ?
— Noûr va te montrer ta chambre, à demain Amir et merci, je me rends compte que tu fais un effort, merci beaucoup.
— De rien Héloïse, je le fais pour vous deux, parce que c’est ma sœur et que tu es son amour et mon amie.
Il suit sa sœur en direction de sa chambre. Je ne bouge pas, je suis tétanisée, pourvu que ça marche. Noûr revient, elle s’allonge à côté de moi, elle m’enlace.
— Ça va mon amour ?
— Oui, très bien.
— J’ai vu que tu n’avais ressenti aucun plaisir, c’est normal ?
— Je crois que je suis devenue totalement lesbienne, je n’ai rien ressenti, aucune onde, pas un frisson, rien, j’en suis la première étonnée.
— Dormons maintenant, on verra plus tard pour les câlins.
Nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre.
Le lendemain, je me réveille à huit heures, Noûr est debout, je l’entends parler avec son frère dans la salle à manger. Je reste dans le lit, je veux en profiter un peu. Elle entre dans la chambre, se jette sur moi pour échanger un long baiser. Elle appelle Amir. Il entre ...