Féminisation presque forcée... (8) - Histoires de Sexe

Féminisation presque forcée... (8)

... chien qui renifle l’arrière-train d’une femelle en chaleur, Véronique approcha son nez pour renifler la tâche et en fut tout émoustillé.

— Ce n’est pas de l’urine ! Cette petite chienne a été tout excitée de sentir une grosse bite prête à défoncer sa chatte de pucelle !

Je sentis l’obligation de m’expliquer.

— Je suis désolé. Ça s’est fait malgré moi !

Samantha qui me tenait toujours en l’air à bout de bras souriait en coin, presque satisfaite de cette découverte.

— C’est une bonne nouvelle et tu ne vas pas être déçue petite chienne ! Mais il faut te vêtir pour l’occasion.

Je me doutais bien de ce qu’il allait se passer, et j’étais même impatient de savoir comment elles allaient me déflorer ! Véronique tendit ses bras et supplia Sam.

— Donne-la-moi s’il te plaît ! Vous avez toutes pu jouer avec elle depuis le début de la soirée. Je l’ai défendue. Elle me doit bien ça.

Samantha capitula et me déposa dans les bras puissants de ma sauveuse. Elle quitta alors la pièce. Véronique me portait à la manière d’une jeune mariée. Elle plia le bras qui était sous mes genoux de manière à ce que sa main puisse jouer avec mon petit séant qui la fascinait tant. Du bout de ses doigts habiles, elle baissa la culotte et vint me titiller l’anus de son large index qui écartait agréablement mes petites fesses. Je vibrais de surprises et de plaisir, et la tache humide sur mon slip n’en finissait pas de s’élargir. La géante qui jouait avec mon corps fit part de sa joie à ...

... Clara qui la regardait profiter de moi avec envie.

— Regarde ! Elle mouille encore plus !

Clara, frustrée de n’être que spectatrice s’approcha, passa ses gros doigts boudinés sous la bordure de la culotte, et la baissa pour libérer mon petit pénis qui se dressait de toute sa faible la longueur. Elle le saisit d’abord délicatement entre son pouce et son index. La pauvre petite chose paraissait si mince dans les gros doigts de la géante obèse ! Elle se mit à le masturber doucement, appliquant une pression calculée pour ne pas l’écraser. La double stimulation sur mes zones érogènes connues et inconnues générait des vagues de plaisir qui envahissaient mon corps tout entier depuis mon entrejambe. Je gémissais de plaisir, porté dans les bras musclés de Véronique, pendant que Clara titillait mon clito. Elle laissa sa bouche remplacer sa main et prit mon sexe entre ses grosses lèvres pulpeuses, laissant sa langue jouer avec mon gland, lapant le liquide qui en perlait. Je ne pus résister longtemps à autant de sollicitations. C’était la première fois que je sentais un orgasme arrivé sans que mon pénis ne soit dans ma main. Je ne contrôlais absolument pas ce qu’il se passait et je jouis dans la bouche de celle qui avait passé une bonne partie de la soirée à porter avec une facilité surprenante mon corps chétif. Véronique caressa ma rondelle avec plus de vigueur et provoqua de nouveaux jets d’un sperme liquide et clair dans la bouche de Clara qui se repaissait de ma semence comme d’un ...