Féminisation presque forcée... (8) - Histoires de Sexe

Féminisation presque forcée... (8)

Samantha, suivie de Clara et Véronique entrèrent et virent la fâcheuse posture dans laquelle j’étais : maintenu les fesses à l’air et à plat ventre d’une seule main sur le lavabo par une géante bodybuildée et à laquelle je n’avais pu opposer aucune résistance, avec un énorme phallus de caoutchouc sur le point de me dépuceler, défonçant mon petit cul par la même occasion. Samantha invectiva Fiona.

— Arrête ça tout de suite, son pucelage est à moi !

Je ne fus qu’à moitié surpris que ce qui importait à ma maîtresse était d’être la première à me pénétrer, plutôt que la géante noire ne me brise les os.

Elle n’eut pas le temps de répondre. Le pied de Véronique vola en direction de son visage et la mit KO instantanément.

— Il ne faut pas traîner ici ! Clara, emmène la petite. Je protège vos arrières.

Clara me chargea à plat ventre sur son épaule comme si je n’étais pas plus lourd qu’un sac de linge et courut en direction de la sortie. Elle ne prit pas la peine de me rhabiller et je traversai la piste de danse exposant mes petites fesses nues sous des sifflets d’admiration. Une fois dehors, elle attendit sagement ses copines, tout en me maintenant fermement sur son épaule si large que mon petit corps y reposait confortablement. Le vent froid gelait mes fesses que personne ne pensait à couvrir. Samantha et Véronique ne tardèrent pas à sortir. Ma maîtresse fronça les sourcils envers Clara.

— Tu aurais pu remonter sa culotte !

— Ah oui, pardon !

Ma porteuse ...

... saisit le petit slip rose dans ses doigts épais et le remonta maladroitement sur mes fesses. Samantha posa mon manteau sur mon dos et m’attrapa sous les aisselles pour me soulever et me plaquer contre elle. Le contact de son immense corps pulpeux et chaud me revigora. Un de ses énormes seins s’étalait contre mon buste et tout mon poids reposait maintenant dans sa main droite qu’elle maintenait sous mes fesses pour me plaquer contre elle. Mes jambes entouraient sa taille qui bien que relativement fine par rapport au reste de son corps, m’obligeait à largement écarter les cuisses.

Ma protectrice se mit à marcher, escortée par Clara et Véronique. J’enfouis ma tête contre son cou musclé et elle me serra un peu plus fort contre elle. Mon anus me procurait d’étranges sensations. Même si cette énorme brute musclée avait voulu me violer, j’avais terriblement été excité par la sensation de l’énorme bite dans ma raie et mon petit sexe en était encore tout humide. J’ai presque été déçu de ne pas l’avoir senti plus profondément en moi...

Les géantes marchaient vite et nous fûmes rapidement de retour à la maison. Samantha m’emporta jusque dans le salon où elle me saisit par le buste pour me déposer délicatement. Ce faisant, ma jupe remonta et dévoila la culotte, et surtout l’auréole qui s’était formée à hauteur de mon clito. Elle stoppa son mouvement et m’éleva au contraire pour maintenir mes pieds à un bon mètre du sol.

— Tu as eu si peur que tu t’es fait pipi dessus ?

Tel un ...