De vierge à soumise : l'année de mes dix-huit ans (1)
Datte: 27/07/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Blueberry89, Source: Xstory
... que cette année est mal partie. J’ai déjà une réputation de merde alors que je n’ai rien fait. Moi qui croyais que le lycée supérieur allait être plus facile... En fait, c’est encore tous des gamins.
— ...
— Je sais ce que tu vas me dire, qu’est-ce que j’en ai à faire du regard des autres ? Mais là c’est le début de l’année et je vais encore galérer à m’intégrer. C’est pas comme ça que je vais perdre ma virginité !
Un bruit sourd envahit le garage au moment où Roman se relève brusquement et se cogne la tête contre quelque chose. Il pousse un tel paquet de jurons que j’en rougis presque.
— Ca va ?
— Ouais ouais, j’ai l’habitude.
— Faudrait penser à mettre un casque. Bon je disais, je vois mal comment je pourrais trouver mon bonheur cette année. Les mecs ont vraiment tous l’air stupides. Le seul qui semblait un peu plus mature que les autres est en fait un abruti fini. Il m’a sorti la phrase typique du dragueur avec les étoiles dans les yeux et quand je l’ai coupé, il m’a carrément balancé un truc bien salace. Si tu savais comme je m’en veux ! J’ai cru ressentir un truc pour lui en plus, c’est juste hyper humiliant. J’espère qu’il l’a pas remarqué....Tu crois qu’il l’a remarqué ?
— ...
— Ouais, je me fais des idées, je sais. Bon, tu viens manger à la maison ce soir, Maman fait ses lasagnes et tu sais comme elle aime te gaver.
— OK, répond-il simplement
Il évite mon regard et ses yeux descendent machinalement jusqu’à mes cuisses, avant de se ...
... détourner brusquement. Assise sur l’établi, je n’ai pas vu que ma jupe était remontée et que j’ai les jambes écartées. L’habitude d’être en pantalon sans doute. Heureusement que mon collant est opaque, mais cela a suffi pour le gêner. D’un bond, je redescends de mon perchoir, embarrassée par cette petite humiliation.
— Allez, à tout à l’heure et merci, ça m’a fait du bien de discuter avec toi.
Je file à la maison sans demander mon reste et me réfugie dans ma chambre en toute discrétion pour éviter les questions de ma mère. Allongée sur mon lit, je me refais le film de cette journée qu’on ne peut décemment pas qualifier de bonne. La honte s’empare de moi. Je dois me changer les idées. Je prends un livre sur ma table de chevet et m’y plonge pour éviter de penser. Ma lecture prend soudain un virage inattendu quand les personnages se sautent dessus. Pour une fois, l’auteur ne se contente pas d’une ellipse et décrit parfaitement la scène de sexe intense où la femme se fait prendre brutalement contre un arbre dans un parc. Non seulement ces mots me choquent, surtout lorsque je lis le passage de sodomie, mais ils provoquent aussi en moi d’étranges sensations qui me donnent une furieuse envie de me toucher.
J’imagine des mains à la place des miennes, s’occupant elles-même de chatouiller mes lèvres et mon bourgeon de chair. Mes doigts glissent entre les replis de ma vulve. De mon index et mon majeur, j’emprisonne mon clitoris et le presse, entraînant de vives décharges qui me font ...