A la recherche du plaisir (7) - Histoires de Sexe

A la recherche du plaisir (7)

... passer sa main sous mon tee-shirt, me caresse la poitrine, m’embrasse dans le cou une jambe par-dessus les miennes. Je commence à avoir une érection, sa main descend vers mon entrejambe et elle me prend les testicules en pleine main à travers mon pantalon. Je n’ose bouger, choqué par cette entreprise; elle ouvre ma braguette, atteint mon sexe, le sort hors de sa tanière et commence une fellation. L’image de Maman me traverse l’esprit, je ne dois pas la tromper, je dois lui rester fidèle. Je repousse Sylvie et me lève.

— Tu n’aimes pas ? Pourtant à voir ton oiseau au garde à vous, je pense que tu n’es pas insensible à mes avances.

— Non Sylvie; je dois rester fidèle.

— Fidèle à qui ?

Je ne peux pas lui dire à » Maman »

— Fidèle à ton pucelage ?

Je suis debout; pantalon remis en ordre. Devant ma volonté, Sylvie renonce.

— Puisque tu veux rester puceau ! Je te montre ce que je veux que tu me fasses comme bricole, et pendant ce temps, je passe un coup de fil.

Je dois simplement mettre une ficelle au dos d’un tableau pour fixer celui-ci à une pointe déjà en place au mur de sa chambre. Je ne comprends pas pourquoi elle m’a fait venir, elle pouvait faire cela elle-même. De retour dans le salon, Sylvie ne me dit pas au revoir, mais à tout de suite; maman l’a invitée à dîner avec nous au téléphone.

Maman et sa collègue ont passé le temps du dîner à rire, raconter des anecdotes sur leur travail pendant que j’étais d’humeur boudeuse suite à l’attitude de ...

... Sylvie cet après-midi. A la fin du repas, cette dernière déclare qu’elle ne se sent pas bien, qu’elle a trop bu et sur ce, Maman l’invite à dormir ce soir dans ma chambre.

— Je ne comprends pas ce qui se passe avec Sylvie. Elle n’a pas bu une goutte d’alcool ce soir; pourquoi ce cinéma ? Cet après-midi, elle m’a dragué ouvertement.

— Et tu n’as pas donné suite ?

— Maman, c’est toi que j’aime.

— Mais tu ne m’appartiens pas et tu dois comprendre, les femmes, quelquefois, ont des besoins comme les hommes.

— OK, qu’elle sorte dans la rue et qu’elle s’en trouve un. Je suis content quand même, car ce soir, je vais dormir avec toi.

— Non, on ne déroge pas à ce que l’on a dit, chacun dort dans sa chambre.

— Sylvie va me sauter dessus.

— S’il te plaît, ne la repousse pas, c’est une collègue, mais surtout une amie.

— Maman, tu entends ce que tu me demandes ?

— Je ne te demande pas de prendre du plaisir, je te demande de lui en donner. Va te coucher, et dans une heure si elle dort profondément, tu reviendras me rejoindre.

J’entre doucement dans ma chambre, me déshabille, mets un short sans mettre la lumière et rentre dans mon lit. Je cherche les draps lorsque la lumière jaillit et je vois Sylvie nue sur le lit, de bas noirs rehaussent la blancheur de sa peau.

— Viens ici, nous devons finir ce que j’ai commencé cet après-midi, j’ai horreur de faire les choses à moitié.

J’avance gauchement vers le lit, elle m’attrape par le short et me fait basculer sur ...