La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1512)
Datte: 24/07/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... enfouie entre ses cuisses. L’esclave Joëlle, aussi impudique qu'expérimentée savait parfaitement ce qui plairait au Maître pour Lequel elle avait été formatée et dont elle était la propriété depuis la majorité du jeune Châtelain qui l'avait possédée de tant de façons, et dont elle ne pouvait seulement concevoir de ne pas se dévouer corps et âme, sans aucune limite à Sa satisfaction la plus absolue. Joëlle était de la race de ces esclaves qui ne peuvent vivre et s'épanouir que sous le Joug implacable d'un Maître, dans une appartenance absolue, une dépendance totale, profonde et définitive. Même lorsque Monsieur le Marquis d'Evans la prêtait à d'autres membres du Cercle des Supérieurs, quoiqu'elle subisse, aussi douloureuses, avilissantes, contraignantes ou excitantes que soient les Exigences du Noble, quoiqu'Il exige de Sa chienne, joëlle s'exécutait avec un engagement total, une volonté sans faille de toujours donner le meilleur d'elle-même, de son corps asservi, quoiqu'il lui en coûte, elle ne vivait que pour Lui. Son appartenance était sa seule raison d’être, Lui obéir en toute chose restait sa seule raison d’exister, son entière dévotion était sa seule raison de vivre, tout simplement…
Et le Maitre en cet instant voulait voir joëlle et Chloé se comporter comme les plus impudiques des catins... Aussi joëlle entraînait-elle Chloé, encore inexpérimentée et parfois un peu gauche, dans une sarabande sensuelle et même terriblement sexuelle. Les corps des deux femelles ...
... soumises s'enlaçaient, s'unissaient, s'entremêlaient, leurs bouches léchaient, embrassaient, suçaient... C’était charnel et sensuel. Joëlle savait comment faire perdre toute notion du temps à sa partenaire. Et bien qu'un peu timide encore, Chloé se révélait une partenaire vraiment très chaude et ouverte. Il est vrai que pour la jeune analyste financière de haut niveau, tout comme pour l'esclave femelle, il s'agissait avant tout de satisfaire Celui auquel elle avait fait le choix irréversible de se donner entièrement, de s'abandonner, de se livrer à Lui et de Le satisfaire en toutes circonstances. Les deux femelles, se livraient ainsi à un fabuleux ballet érotique, leurs bouches, leurs seins, leurs chattes dégoulinantes de mille désirs ne formant plus qu'une créature unique faite de sensualité, d’extase, de plaisir, de jouissances... Têtes bèches, les deux jeunes femmes se livraient à un 69 époustouflant, leurs langues allant chercher ce petit bouton rose si sensible et leurs râles mêlés de salive et de cyprine étaient grandement approuvés par le jeune Marquis Edouard d'Evans qui Se délectait de l'ardeur sexuelle de Ses deux propriétés... Ces ébats torrides ponctués d’orgasmes autorisés offraient un spectacle lubrique et lascif à volonté… Et le Noble se délectait allègrement en ne perdant pas une seconde de ce qu’il voyait sous ses yeux bleus … Après ce sulfureux 69, le Maître ordonna a Ses deux femelles en chaleurs de se goder mutuellement, en leur lançant, à portée de main, à ...