La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1512)
Datte: 24/07/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode N°1506) -
… la punition n'en était qu'à ses premières heures ! … Lorsqu'ils eurent bien déchargé dans mon cul et ma bouche, les deux mâles étalons échangèrent leurs positions et je fus à nouveau doublement pénétré, que dis-je doublement besogné en de saillies des plus bestiales et sans modération. Les efforts que je devais faire pour parvenir à respirer entre deux enfoncements de l'énorme verge au fond de ma gorge me faisait presque oublier la douleur mélangée de plaisir de l'autre bite qui forçait et remplissait mon anus à un rythme soutenu par des puissants coups de reins générant de profondes poussées cadencées... Alors que je subissais les va-et-vient de cette double pénétration torride, celui qui prenait mon cul appliquait en même temps de très fortes claques fusant sur mes fesses rougissantes... et les poids qui pendaient toujours aux pinces placées sur mes tétons et mes couilles s'agitaient au rythme des virils coups de boutoir, mordant toujours plus la chair fragile ainsi tourmentée... Je n'étais plus rien, rien, juste un objet sexuel, une chose insignifiante que l’on use et abuse sans modération dont deux créatures insatiables se partageaient les orifices dégoulinants de bave et de sperme… Les deux soumis-étalons jouirent à nouveau de concert, m'inondant d'un épais et abondant jet de leur semence trop longtemps restée prisonnière dans leurs couilles ...
... encagées. Mais je ne devais surtout pas espérer le moindre répit. Je fus mis sans ménagement sur le dos et l'un des deux vint s'asseoir sur mon visage, frottant sa raie sur ma bouche alors que je m’attelai tant bien que mal à lécher son cul, tandis que l'autre arrachait d'un coup sec les pinces qui mordaient mes couilles. La douleur fut intense, mais j'étais bâillonné par le cul épais de celui qui m'imposait ce face-sitting si pesant...
Un étalon ayant succédé à l'autre sur ma gueule d'esclave, je dus à nouveau lécher longuement et avec la plus grande application la raie et l'anus de celui qui me chevauchait maintenant. J’avais perdu toute notion du temps et j'étais épuisé... aussi ne pouvais-je avoir aucune réaction lorsque se relevant, le black étalon me souleva comme une vulgaire poupée de chiffon. J’étais devenue totalement malléable et les deux étalons-soumis étaient si costauds, que je n'étais qu'un patin, qu’une marionnette, entre leurs volumineuses mains. Je passais de l'un à l'autre comme une balle dénuée de toute volonté... Enfin, après qu’ils se soient ainsi bien vidés les couilles, je fus mis à genoux devant la croix de Saint-André, les poignets attachés et bras tirés vers le haut et fixés à une barre. Ils me firent ouvrir les cuisses au maximum, exhibant ainsi mon sexe toujours contraint dans la cage et forçant mes lèvres, ils poussèrent chacun leur tour leurs énormes pénis dans ma gorge jusqu'à y jouir une fois encore, l'épaisse semence s'écoulant lentement en ...