Le coiffeur de ces dames (4)
Datte: 20/07/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... inusitée de ce mufle puissant et la tendance à toujours vouloir remonter vers le haut font qu’une pression énorme appuie sur la partie supérieure de ma vulve, exacerbant au-delà du possible mon point G.
Je n’ai jamais ressenti ça avec une telle intensité et il ne lui faut que quelques minutes pour déclencher chez moi un orgasme presque permanent. Il est en sueur, je le repousse et me retourne, pose les mains sur mon bureau, bien cambrée, la moule saillante. Une mousse épaisse s’est formée autour de mes lèvres intimes et de sa verge, le haut de mes cuisses porte les traces de ma cyprine abondante.
La fournaise détrempée de ma grotte aux délices dégouline de ma cyprine sous ses mouvements frénétiques à une cadence folle. Je me prépare au déferlement du sperme du jeune homme qui pine tel un lapin sa lapine. Mais il n’en finit pas, me pinant encore et encore. Il s’écroule au sol et je reprends le témoin, son gros bâton crémeux d’une main, je dégoulinais comme un robinet à l’idée de me défoncer par cette matraque tordue. Je frotte son gland contre ma chatte et enfonce son monstre dans mon abricot juteux qui palpite de plaisir.
Mais j’ai beau faire... Dix minutes de baise, puis trente, puis quarante... Il ne jouit toujours pas. J’ai la chatte en feu.
Il me repousse tellement sa verge est devenue elle aussi trop sensible aux frottements et m’avoue :
— Désolé Sonia, mais je n’arrive pas à jouir !
Anaïs a tellement vu de chattes de toutes formes, de tous âges, telle ...
... la chanson du « zizi » et c’est tellement fait pomper qu’il en est bloqué physiquement et psychiquement. Je vais le soulager en une dernière fellation. Je me mets tête-bêche sur lui pour qu’il s’occupe de ma chatte pendant que j’enfonce jusqu’à la garde sa pauvre verge enflammée. Repensant au sucre d’orge de mon enfance, je pompe le dard de mon vigoureux apprenti. Et enfin un cri...
— Aaahhh ! Je vais jouir ! Enfin !
J’approche mon visage de sa lance et ouvre la bouche en grand. Cela fait si longtemps que ça s’accumulait dans ses burnes que ça gicle, ça gicle encore et toujours en abondance. Les jets se suivent toujours aussi rapprochés et entrent dans ma bouche, explosant au plus profond de ma gorge. Ma bouche est pleine, ça déborde même. Je n’ai pas envie que ça dégouline, je veux tout dans ma bouche. Alors j’avale, j’avale encore et encore au fur et à mesure de cette éjaculation dantesque.
Anaïs reprend son souffle et ses esprits, les yeux tournés vers le plafond. Après avoir dégluti, il me regarde, encore agenouillée entre ses cuisses. Mon visage rayonne, tout auréolé d’un halo de tendresse, de sensualité. Mes lèvres rouges serrées, retenant le sperme qui remplit encore ma bouche, au goût spécial et unique. J’avale tout jusqu’à la dernière goutte.
— Mon petit Anaïs, tu comprends bien que bien que j’aie apprécié cet interlude, il ne m’est pas possible de te garder. Je ne veux pas tomber comme maquerelle... Tu finis ton mois et on en restera là. C’est mieux pour ...