1. Le coiffeur de ces dames (4)


    Datte: 20/07/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Le coiffeur de ces dames. 4
    
    — Tu as vu des centaines de choupinettes, mais combien de fois tu y as plongé ton dard ?
    
    — Dans aucune, Mad... Sonia. Malgré toutes ces chattes offertes, je suis toujours puceau.
    
    Je n’en reviens pas de ce qu’il vient de me révéler. Anaïs est toujours vierge !!! Enfin... si on veut.
    
    — Tu veux que je change ton statut, Anaïs ? Tu veux goûter à ma chatte ?
    
    — Euh... Si vous croyez que...
    
    Suite :
    
    — Oui, j’en suis même sûre ! Mais avant, je vais te faire subir la même chose qu’à tes clientes, tu vois ce que je veux dire ?
    
    — Euh... oui. Vous allez me raser la bite.
    
    Il n’y a pas que lui qui soit un expert, en un rien de temps, il est imberbe. Mais je dois lutter férocement pour garder son manche à l’horizontale et raser son bas-ventre tellement je sens entre mes doigts la force tranquille qui essaie de redresser cette poutre à la verticale.
    
    Je tiens toujours son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois et lui demande s’il a aussi rendu aux filles leurs caresses buccales. Il me répond que non aussi.
    
    — Eh bien, Anaïs, il faut commencer par le début, déshabille-moi et occupe-toi de ma chatte !
    
    Il hésite un moment, mais il n’en est plus à découvrir une foufoune de plus. Il s’active, retire ma robe, puis un string trempé de ma mouille. Il m’a fait juter, ce petit con !
    
    Je m’amuse avec lui. Bouger mon bassin pour provoquer ses caresses. Un de ses doigts caresse doucement mon minou, se promenant le long ...
    ... de ma vulve jusqu’au clitoris qu’il titille avec hésitation.
    
    — Ta langue... mets ta langue !
    
    Il me caresse pendant un temps qui me parait une éternité alternant ses doigts et sa langue, goûtant pour la première fois à mouille féminine. Ses doigts remontent sur le bord de mes petites lèvres, bousculant mon clitoris dardé aussi raide que sa queue, le pétrissant, le malaxant. Tout mon corps se raidit dans un frisson incontrôlable sous ses caresses. Il relâche la pression de sa bouche contre ma fente, elle est détrempée de ma mouille et de sa salive. Mes sens chavirent sous ses caresses, qui me pénètrent, me troublent ... Une onde de chaleur monte, car ses caresses irradient dans tout mon corps... Je le repousse violemment et lui crie :
    
    — Prends-moi ! Prends-moi !
    
    Il se redresse, ses deux mains massent l’intérieur de mes cuisses qu’il ouvre au maximum, mon fruit mûr baille déjà, suintant abondamment. Il bande comme un âne, un étalon, un taureau... Il se positionne face au trou qui va recevoir ce jonc vigoureux, et sans aucun préliminaire, il s’enfonce avec satisfaction dans mon volcan chauffé au rouge.
    
    Je ceinture mes deux jambes et pousse mon bassin en avant à la rencontre de ce piston qui me pilonne sans aucune complaisance. Ce petit con a des leçons à apprendre de ce côté-là !
    
    Nos bas-ventres claquent l’un contre l’autre, ma chatte émet des bruits bizarres par la compression de l’air causé par sa poutre. La forme courbée vers le haut de sa pine, la grosseur ...
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