1. Dans le tortillard


    Datte: 19/07/2023, Catégories: fhh, jeunes, inconnu, train, revede, Oral pénétratio, double, occasion, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... mes seins et enfin mon esprit.
    
    À peine remise de cette déferlante de plaisir, ces hommes me soulevèrent et le lécheur prit ma place et me fit asseoir sur ses genoux. Sa baïonnette se planta entre mes jambes, jusqu’au fin fond de mon bénitier bien lubrifié.
    
    L’autre tourna mon visage vers lui et je me trouvais nez à nez avec son cyclope. Il venait de monter sur le siège voisin du mien. Il appuya légèrement sur ma nuque, précisant ses intentions. J’arrondis lèvres et gobai cet engin, les doigts posés à sa base, j’entamais mes allées et venues, agitant la langue autour du gland, tandis que l’autre fouillait mon antre de son membre.
    
    Je ne savais si le précédent orgasme avait préparé le terrain, mais je sentais de nouveau cette douce chaleur monter en moi, celle qui précède le typhon. Je me pressais les seins, martyrisais mon petit bouton, m’agitais autant qu’il m’agitait sur son sceptre en me tenant les hanches.
    
    J’avalais presque en entier ces deux morceaux de chairs, l’un au fond de mes entrailles, l’autre au fond de ma gorge.
    
    J’explosai alors que ces deux hommes s’épanchaient entre toutes mes lèvres.
    
    ~~oOo~~
    
    Un cahot me fit basculer contre la vitre. Ma chemise déboutonnée laissait voir mes seins aux tétons sensibles, ...
    ... rouges et érigés, tétons que je malaxais d’une main.
    
    Mon autre main se trouvait sous ma jupe, les doigts plantés dans mon huître perlière, ma culotte entortillée autour d’une cheville.
    
    J’avais un drôle de goût dans la bouche, car je venais de lécher le skaï du siège.
    
    Hébétée, je regardai autour de moi. Les deux types mignons dormaient du sommeil du juste à l’autre bout du wagon, tête contre tête.
    
    Que s’était-il passé ?
    
    Je croisai le regard de la petite mamy, elle me souriait. Son mari ronflait à ses côtés.
    
    — Vous savez, le train m’a toujours fait cet effet-là, à moi aussi, ça me provoque des rêves cochons, aphrodisiaques comme on dit, qui vous donnent l’impression qu’un homme vous fait des choses, mais maintenant avec leur TGV à la con, c’est plus pareil. C’était mieux avant.
    
    À l’autre bout de la voiture les deux amis se réveillaient, l’air hagard, nos regards se croisèrent. Ils me firent un petit coucou de la main et un sourire. La grand-mère les observa un instant et ajouta.
    
    — Je suis prête à parier ma culotte qu’ils ont fait le même rêve que vous !
    
    J’éclatai de rire en l’imaginant faire un strip-poker. Tout compte fait, merci la SNCF.
    
    ~~oOo~~
    
    ⁽¹⁾ : François de Malherbe :« J’avais passé quinze ans » 
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