Quand j'ai offert ma nana à un pote
Datte: 12/09/2018,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Partouze / Groupe
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... me sucer. Un coup de langue sur la fente de mon gland, pour commencer. Un autre, puis elle goba ma queue tout entière, sous les yeux de mon pote que je fixais du regard en souriant. Je savais ce que je faisais. J’avais les idées floues, mais mes envies étaient claires. J’ignorais si j’allais le regretter le lendemain à mon réveil, mais sur l’instant j’en avais envie.
Léa me pompait la queue et je lui tripotais un nichon.
L’ivresse la rendait un peu maladroite, mais je m’en fichais.
J’ai dit à Thomas :
« Tu veux la toucher… un peu ? »
Il a fait non de la tête, mais il s’est levé. Il a contourné la table basse et s’est mis à genoux près de Léa qui n’a pas cessé de me sucer. Il lui a touché la hanche, puis la cuisse. Sa main est remontée sous sa jupe et Léa a mieux écarté les cuisses.
Il touchait sa culotte.
Il forçait la tension de l’élastique pour toucher sa chatte.
Pour la toucher, tout en regardant Léa me sucer, puis pour lui enfoncer un doigt, ou deux, je n’en sais rien. Je sais juste que Léa s’est mise à gémir à un moment donné, sans cesser d’enrouler sa langue autour de la base de mon gland qui était gonflé à bloc.
Mon pote était en train de branler ma nana sous mes yeux, et je ne suis pas parvenu à me souvenir d’avoir autant bandé par le passé.
Ma tête tournait comme il faut.
J’ignore pendant combien de temps Léa m’a sucé, tout en se faisant masturber par les doigts de Thomas. Tout est flou.
Je conserve seulement quelques images en ...
... mémoire :
Léa qui enlève sa chemise et Thomas qui lui suce un sein pendant qu’elle continue de me sucer la bite.
Mon pote qui roule une pelle à ma nana.
Le mal que j’ai eu à défaire mes godasses, puis à virer mon pantalon et mon caleçon, tandis que Léa s’était mise debout pour ôter sa jupe, puis baisser sa culotte sous les yeux de mon pote.
Léa qui se penche de nouveau pour me sucer, tandis que mon pote lui bouffe la chatte. Peut-être aussi le cul, je ne sais pas.
Léa, à poil, qui vient s’empaler sur ma queue en gémissant :
« Oh putain oui… putain oui… »
Parce que ma queue était raide dans sa chatte, et parce que mon pote lui mettait un doigt dans le cul.
Léa qui bascule sur ma gauche et qui ouvre ses cuisses pour accueillir la bite de mon pote. Je revois son gland hésiter, échouer, recommencer, puis finir par s’enfoncer dans la chatte de ma nana.
Il n’avait pas de capote, moi non plus.
J’ai tripoté les nichons de Léa pendant que les à-coups du corps de mon pote faisaient trembler ses nichons comme des petits flans coniques.
J’ai touché la chatte de Léa pendant que la bite de Thomas la fourrait.
J’ai effleuré sa bite et il n’a rien dit.
Plus tard, j’ai enculé Léa pendant qu’elle suçait mon pote.
Encore plus tard, je me souviens que mon pote s’était avachi dans son fauteuil et qu’il regardait le plafond du salon lorsque Léa a repris ma queue dans sa bouche. C’était glissant et visqueux. Ma queue était raide. Mais ce n’était la salive de ...