1. Quand j'ai offert ma nana à un pote


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Hardcore, Masturbation Partouze / Groupe Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Ce soir-là, en quittant ce bar, je n’avais qu’une seule envie : sauter Léa. Mais mon pote Thomas était encore là, aussi ivre que nous. C’était à l’issue d’une soirée passée avec d’autres amis qui avaient tous capitulé entre temps. Il était une heure du matin et j’ai fini par proposer à Thomas de venir boire un dernier verre chez moi. Il a accepté.
    
    Sur le trajet, il a tenu à acheter une bouteille de vin blanc dans une épicerie de nuit. J’étais un peu en rogne, mais c’était trop tard, je l’avais invité à nous suivre. Une bouteille, cela faisait environ six verres. Deux chacun, puis Thomas s’en irait et je pourrais enfin sauter Léa.
    
    Elle me tenait par le bras dans la rue. Elle riait pour n’importe quoi et titubait sur le trottoir. Si je l’avais lâchée, elle aurait piqué du nez, c’est sûr. Elle portait une robe en tissu marron, ce soir-là, assez courte. Une chemise beige et des petites bottines noires en daim. Nous étions ensemble depuis moins de trois mois et elle dormait plus ou moins trois nuits par semaine chez moi. On baisait à chaque fois.
    
    C’était l’été.
    
    Je connaissais Thomas depuis plus longtemps que Léa. Il était étudiant en archéologie et aimait le cinéma. Une connaissance commune nous avait présentés, un soir, et le courant était passé. On avait bu un paquet de bouteilles chez moi et dans des bars. Puis Léa était arrivée dans ma vie et on s’était vus un peu moins souvent, lui et moi. Une ou deux fois par semaine.
    
    J’ai eu du mal à enfoncer la clé dans ma ...
    ... serrure, je me souviens. Puis on est entrés. Léa en premier, suivie de Thomas. J’ai refermé la porte et on s’est installés dans le salon. Léa dans le canapé, près de moi, et Thomas dans un fauteuil situé pile en face Léa. Ce détail est loin d’en être un, car quand elle était ivre, Léa avait tendance à ne surveiller ni les gestes qu’elle faisait, ni les positions qu’elle prenait.
    
    Aussi, je ne fus pas vraiment surpris de remarquer au cours du premier verre que Thomas avait les yeux rivés aux cuisses de ma nana. Tantôt elle les gardait serrées, tantôt elle faisait cogner ses genoux après les avoir écartées un peu. Je connaissais ce geste. Elle l’avait fait maintes fois le soir où elle était venue chez moi pour la première fois. J’avais ainsi eu tout le loisir de mater sa culotte.
    
    De plus, sa chemise était un peu déboutonnée, et Thomas dut s’en rendre compte aussi, j’imagine. Elle avait des petits seins, fermes et pointus. Pas de soutif. Et, dans mon ivresse, à la seule pensée que mon pote puisse voir ses tétons et sa culotte, ne me demandez pas pourquoi je me suis mis à bander. Ce fut ainsi, un point c’est tout.
    
    Mes pensées étaient floues. J’avais mis de la musique et nous parlions de tout et de n’importe quoi, sans cohérence. Léa continuait de rire pour rien et Thomas ne la quittait presque pas des yeux. J’avais toujours autant envie de la sauter. J’adorais son corps, ses seins, son cul.
    
    Nous n’avions pas de projets ensemble. On baisait quand elle venait chez moi, ...
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