LA CHAPELLE DES DEGUSTATIONS - Histoires de Sexe

LA CHAPELLE DES DEGUSTATIONS

... serait la plus sensible. Je tentais de gigoter mon corps immobile et restreint répondant aux caresses ininterrompues qu’il m’appliquait.

- Hooooooo, Hummmmmmm, Ouiiiiiiiiiiii !!!!!!!

C’était un bourreau, qui me torturait de plaisir, je jouissais, criais, gémissais, pleurais. Un voile avait recouvert mes yeux révulsaient de bonheur. Ses doigts allaient et venaient entre mes cuisses. Sa langue me fouillait l’anus, ses dents mordant parfois ma croupe, alors que de grandes claques venaient de temps à autre ponctuer l’assaut de plaisir que je subissais. Il continua encore et encore, sans conscience du temps et l’après-midi qui défilait dans cette chambre d’hôtel, loin de tout. À plusieurs reprises, j’avais resserré mes cuisses afin de reposer ma chatte en feu, essayant d’atténuer ou de ralentir ses caresses. Il me laissait souffler alors quelques instants et écartait mes cuisses de plus belle replongea ses doigts dans mes entrailles. Je sentis son pouce remplacer sa langue qui entrait dans mon anus, il me sodomisait d’un coté et me conduisait vers un coït vaginal de l’autre. Quelle extase, quel délice, et quel amant. Que d’année perdue, à attendre cet amour qui raffolait de mon corps, de mes formes, et dont le seul but était de me ...

... donner du plaisir. Je sentais ses mains se cramponner à ce qui restait du nylon de mes collants alors que son sexe durcissait dans mon dos. La situation l’excitait à nouveau, et il bandait maintenant comme un taureau, frottant sa verge contre mon corps.

- Tu sens mon doigt dans ton petit trou ma belle, je te prépare pour ce soir, je vais te sodomiser pendant la soirée de la confrérie, te mettre ma grosse bite bien profondément dans ton cul et quand on reviendra à table, tu seras couverte de sperme et tu ne pourras plus marcher.... Dis-moi que tu veux que je t’encule ce soir....

- Hummmmmmm, Hummmm, Hummmmmm

Il me rendait esclave d’un désir excessif, que je ne parvenais pas à refréner. J’avais besoin pour l’assouvir d’ignorer toutes règles morales ou sociales et me donner de manière obscène à mon amant. Plus aucune limite, je ne voulais que ressentir le plaisir sexuel qu’il me donnait afin de rassasier mon hypersexualité. J’avais joui plusieurs fois, quand un orgasme violent me transperça le corps, me laissant dans un état d’extase pendant de longues minutes. Je m’écroulais, vaincue, possédée, et heureuse, m’assoupissant nue dans ce lit, essayant de trouver du repos pour la soirée des vignerons qui était dans quelques heures.