LA CHAPELLE DES DEGUSTATIONS - Histoires de Sexe

LA CHAPELLE DES DEGUSTATIONS

... volumineuse mise en valeur par cette robe moulante. Je me blottissais contre lui, le laissant profiter de mes avantages mammaires, mais aussi excitée par l’endroit insolite et la virilité de mon amant. Je sentais son sexe bien dur se frotter à moi. Ses grosses mains fermes me palpait mes gros seins avec frénésie alors que je sentais son souffle rauque dans ma nuque et son sexe de plus en plus dur contre moi.

- Hummmmm, tu te laisses attraper comme une petite pucelle la Jouvencelle, tu as envie de te faire punir par Monsieur le Comte.

- Ohhhhhh oui Monsieur le Comte faites de moi ce que bon vous semble

- Tu m’as l’air bien excite...

- Hummmmmmmmm….

Il m’avait plaqué la main sur la bouche et augmentait la pression et la frénésie de ses caresses sur mes seins, m’arrachant des gémissements et miaulements de chatte qui voulait et allait se faire saillir. Je me laissais faire, comme une poupée entre les bras d’un enfant, répondant à ses préliminaires par les mouvements tacites de mon corps attendant avec impatience le moment où il allait me posséder. L’endroit et l’effet de l’alcool, m’avaient totalement désinhibé, et je me moquais des éventuels employés qui auraient pu circuler dans ce lieu exigu, n’aspirant qu'à me faire prendre violemment par amant dans cet endroit insolite.

- Monsieur le Comte veut peut-être que je le suce ?

- Quelle petite dévergondée vous faites. Toutes les caractéristiques d’une roturière débauchée… Je vous laisse encore une chance ...

... d’échapper à votre punition…

Je repris ma fuite pour dans ce grand couloir sombre pour aboutir à une petite chapelle dédiée à Saint-Vincent patron des vignerons qui fermait la galerie. Cette chapelle castrale faisait partie des éléments constitutifs du château d’origine. Elle possédait à l’époque autant un rôle religieux qu'un rôle de représentation, et contenait tout un lot d’objet hétéroclite aussi bien utilisé par le culte, mais également le seigneur des lieux. Sur la gauche de la chapelle, se trouvait un petit confessionnal alors que sur sa droite un pilori d’époque, disposé comme un paradoxe entre le pardon et la rédemption. Je comprenais maintenant pourquoi Thierry m’avait entraîné ici, et imaginais bien ce qu’il avait en tête pour la suite de la visite. Le confessionnal était en chêne, encastré dans l'épaisseur du mur. Il s'agissait d'un confessionnal à deux loges, l’une réservée au prêtre, l’autre pour les pénitents. Ce meuble d’église destiné à l’audition des confessions permettait au pénitent de se tenir à genoux pendant toute la durée de sa confession, séparé par une petite cloison verticale s’ouvrant de manière latérale, alors que le confesseur dans sa cellule était muni d’un siège. Alors que je regardais avec curiosité la chapelle, une fois de plus je fus rattrapé par Thierry qui se ressaisit de mon corps par-derrière.

- Bien, je crois que maintenant la pucelle roturière va devoir se confesser et faire pénitence…

- Ohhhhh Monsieur Le Comte, punissait moi ...