Ma fille : la plus sexy des valentines (15) - Histoires de Sexe

Ma fille : la plus sexy des valentines (15)

... secondes.

- Ma chérie, dis-je d’un air mystérieux. Tu sais que…, je repris deux brèves goulées d’oxygène, je voudrais pouvoir te dire…

Je vis que ma fille restait pendue à mes lèvres, attendant avec impatience que je crache mes paroles.

-… que je… je…

- Tu es pathétique !

Lucile me coupa dans ma veine tentative.

- Tu crois vraiment que gagner du temps est une arme. Que grapiller quelques secondes te sauvera. Jamais tu m’entends ! Jamais tu ne gagneras face à moi.

Je la vis soudain rouge de colère et prête à me punir.

- Combien il reste ordure ?! Combien ?!

Elle me prit le chrono d’une main et je pus voir qu’il restait 118 secondes.

- Très bien ! Deux minutes Daddy ! Je vais te faire vivre l’enfer. Crois-moi, tu verras des traînées de semence sur ces draps dans moins de 60 secondes.

Elle fourra soudainement trois de ses doigts dans sa chatte. Les enfonçant le plus loin possible, je la vis les ressortir et venir les faire glisser tout le long de ma queue.

- Tu vois, dit-elle en étalant bien sa mouille, ta bite adore déjà mon jus.

Putain ! Elle allait me finir, elle avait raison. Je ne pourrai jamais tenir encore… 106 secondes ! L’épreuve était trop grande. Je me mis alors à penser à des choses plus dégueulasses les unes que les autres, imaginant dans ma tête des pigeons morts, des tripes de porc, des abattoirs à volaille, et d’autres atrocités qui pourraient me faire débander.

- C’est ça, ferme les yeux Papa. Laisse-toi envahir par ...

... ma bouche et mon corps. Pense à la petite chatte que tu pourrais déflorer, au petit cul que tu pourrais éclater, à la nuit de sexe bestial que tu pourrais pleinement consumer avec ta fille, la chair de ta chair… Ouh, j’en frissonne de plaisir moi aussi, j’en ai la chatte qui coule !

En achevant son discours obscène, je sentis mon bâton avalé sous une tonne de salive, enroulé dans un étau de chair douce et chaude. J’entrouvris les yeux et aperçus Lucile qui cette fois avait pris mon sexe quasi entièrement dans la bouche, tentant de se l’enfoncer le plus loin possible dans la gorge. Elle voulait se gargariser avec mon jus la pute !

Contre toute attente, je poussai un râle d’exultation mais ne venait pas encore ! Mon sexe tenait bon, comme si lui aussi ressentait l’enjeu d’une éjaculation précoce. Lucile parut d’ailleurs surprise de me voir résister à ce point. Je luttai comme un fauve pour tout contenir et ne rien lui laisser. C’était devenu un ring, toute sa chambre n’était plus qu’un immense champ de bataille dans lequel un seul ressortirait grand vainqueur.

- Rrrrgh ! fit soudain Lucile. J’ai bien cru que cette fois j’allais la prendre au-delà de la gorge !

Elle toussa bruyamment avant de reprendre.

- Faut dire que t’en as pas une petite Daddy.

J’ouvrai les yeux pour l’affronter et vis des petites larmes au coin de ses yeux. Elle n’était pas si forte qu’elle le croyait ! Les gorges profondes de plus d’une minute, ce n’était pas de son ressort, du moins, ...