Ma fille : la plus sexy des valentines (15) - Histoires de Sexe

Ma fille : la plus sexy des valentines (15)

Tout ça allait beaucoup trop loin, je le savais. Rien ne me prédisposait à succomber aux charmes de ma fille, encore moins à son corps. Mais j’étais pourtant là, allongé dans le lit de Lucile, ma queue bien au chaud dans une bouche de salope.

Et cette bouche, oh mon dieu ! Elle me faisait vivre un rêve. Avec ses lèvres, ma fille descendait habilement le long de mon membre dressé, embrassant ma chair de baisers mouillés, comme si elle voulait saliver au maximum pour rendre ma bite bien luisante.

Elle ne manquait d’ailleurs pas de me fixer dans les yeux de plusieurs regards pervers. Ce à quoi je tentais de résister en gardant un air calme et mesuré, tout en contrôle.

Cela dit, elle ne semblait pas vouloir gagner trop vite la partie. Elle aurait aisément pu me finir en une minute si elle avait entamé une gorge profonde digne d’une star du porno, mais non, elle prenait son temps.

Je fixai le chronomètre et vis que la première minute était passée. Il me restait 240 secondes à tenir pour enfin déflorer cette petite chienne ! 240 secondes de bonheur et de souffrance.

Je fermai les yeux brièvement pour essayer de m’ôter l’image de ma fille nue me suçant la queue mais celle-ci s’interrompit, lâchant mon gourdin.

- Hum… fit-elle en se léchant les lèvres, brillantes de salive et de pré-sperme. Je crois que je peux faire un peu mieux que ça Daddy.

Elle m’adressa un grand sourire charmeur, et plongea à nouveau sa tête en avant mais cette fois en mettant ses ...

... mains sur mes cuisses. Elle attrapa mon gland du bout des dents et le fit glisser dans sa bouche, suçotant les petits dépôts de sperme comme une assoiffée. Ses lèvres et sa langue exerçaient une telle pression dans la succion que je dus pousser un râle rageur qui résonna contre les murs. Ma princesse m’en faisait voir de toutes les couleurs et ce n’était pas fini. Elle commença à me mordiller gentiment le gland puis elle augmenta la prise petit à petit, laissant des marques de dents sur tout le contour de ma chair. L’effet était électrisant, des décharges d’adrénaline remontaient de la base de mon sexe pour venir se loger directement dans mon cerveau.

Je contemplai à nouveau le chronomètre et fus surpris qu’il reste encore autant de temps, 168 secondes affichait-il. Le temps semblait ralentir tout à coup. Lucile s’aperçut de mon trouble et de mon regard scotché à l’écran digitale.

- Alors comme ça tu préfères mater ce bout de plastique plutôt que la bouche à pipe de ta petite princesse ?

Elle m’avait sorti de ma rêverie en minaudant ses paroles, prenant une voix des plus douces et innocentes possible.

Je ne savais pas quoi répondre mais je savais qu’il fallait à tout prix chercher à maintenir un échange, même bref, avec elle. Chaque seconde durant laquelle Lucile parlait était une avancée vers la victoire car elle n’avait pas ma queue en bouche. La pression dans mon membre redescendait progressivement et je commençais à me réjouir. Le chrono avoisinait les 150 ...